TEMOIGNAGES. Émeutes en Nouvelle-Calédonie : “Je n’ai pas envie de me faire tirer dessus ou tabasser…” Des habitants racontent à eux frayeur

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Alors que des émeutes secouent la Nouvelle-Calédonie, plusieurs habitants de Nouméa s’inquiètent de la particularité et estiment que les débordements n’ont négatif à deviner revers des revendications politiques.

Depuis la obscurité du lundi 13 au mardi 14 mai, la Nouvelle-Calédonie est en cible à de violentes émeutes. Magasins détruits, maisons incendiées, tirs revers des écusson de corpulent calibres… À Nouméa – “capitale” de ce contrée d’outre-mer – de peuplé dégâts sont à geindre. La intellect subséquemment cet lueur : l’recherche par les députés, à Paris, d’une bonification constitutionnelle plantureusement décriée par une article des indépendantistes.

Ces débordements inquiètent les Nouméens sur apprêté : “C’est assez stressant comme situation”, témoigne Pierre-Alain par hygiaphone, contre de La Événement. Cet hôte de Nouméa, où il réside depuis 40 ans, assure que c’est la ancienne jour qu’il observe “des violences d’une telle ampleur sur une île qui est relativement calme en temps normal”.

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Émeutes en Nouvelle-Calédonie : magasins détruits, maisons incendiées… aussi l’île de Nouméa s’embrase

Concernant les motivations des émeutiers, ce photographe fierté qu'”il n’y a pas réellement de revendication politique derrière ces violences, contrairement à ce que l’on peut penser. La plupart des émeutiers sont très jeunes. Il y a avant tout une volonté de piller, détruire, brûler. Si la réforme constitutionnelle a pu être l’élément déclencheur, elle a surtout bon dos pour ceux qui veulent semer le chaos.”

“L’archipel est à feu et à sang”

Pour risquer d’freiner le original, un couvre-feu a été décrété ce mardi à manquer de 18 heures et jusqu’à mercredi 6 heures. Mais avec Chantal, ” ce couvre-feu aurait dû arriver bien plus tôt”. “C’est du n’importe quoi, regrette cette habitante de Nouméa de longue date. Nous sommes en retard d’une journée.” Elle assure que l’îlot est “à feu et à sang”. “Il y a eu plusieurs référendums qui ont été votés et qui ont dit non à l’indépendance de l’archipel. Mais les indépendantistes ne l’acceptent pas et ils ne l’accepteront jamais.”

Prise de déraison, Chantal s’est allogène parmi ses voisins : “Heureusement qu’ils sont là. Ils sont armés et c’est vrai que ce n’est pas forcément une bonne chose mais il arrive un moment où on pense à notre sécurité. Que pouvons-nous faire ? Les renforts ne sont pas encore arrivés, on subit et moi je n’ai pas envie de subir, de me faire tirer dessus ou tabasser.”

“La Nouvelle-Calédonie est mon pays et je compte bien y rester”

Les émeutes vont-elles scander plusieurs Nouméens à avaler des décisions radicales puisque partir le contrée ? Pour Pierre-Alain, “c’est hors de question” : “La Nouvelle-Calédonie c’est mon pays, j’y vis depuis des années et je compte bien y rester.” Chantal, relativement tonalité, phantasme de encore en encore à rattraper la archiépiscopat : “J’ai eu ma fille au téléphone tout à l’heure et je pense que nous allons rentrer plus tôt que prévu par mesure de sécurité.”

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