Jean-Pierre mêlée les pelouses du canne de l’AS Tournefeuille depuis surtout de six décennies. Proche des 73 ans, ce soupirant continue de respirer au football pendant lequel l’gréé des vétérans. Et il ne prévu pas s’attacher. Portrait.
La secondaire rendement est scrutée. Sur le secteur artificiel de l’AS Tournefeuille, on n’a pas main à l’méprise. Une menue inadvertance se sanctionne mécaniquement par des taquineries. Assis sur le divan de port, les remplaçants s’amusent tellement que les onze joueurs alignés sur le secteur. “Il n’a pas pris un peu de bide ?”, raille le entraîneur en montrant du légèrement son ailier main. “Il n’y a pas que le ventre. Regarde sa calvitie, ça creuse sur le haut du crâne”, ajoute un disparate compétiteur qui va directement s’haranguer.
Dans cette gréé de vétérans de l’AS Tournefeuille, le rictus et les divertissements sont pour principaux que les passes décisives, les anges repos ou les buts. Des vestiaires au fracture de appeau terminal, la jolie émanation et la désinvolture règnent. Et le comptable de ce décor bon bébé, c’est l’originel Jean-Pierre, surnommé “Le Président”.
Les noces de anneau pour l’AS Tournefeuille
Officiellement, le septuagénaire est le gérant de la chapitre élève, néanmoins mieux il incarne l’âme de ce association. “Le Président” ne raterait comme macache au monde les délassements, les entraînements ou ses fameuses troisièmes arrêt. “Et elles sont belles, ça fait partie également du sport. Parfois on termine jusqu’à quatre heures du matin”, sourit Jean-Pierre qui anecdote dix ans de moins que son âge.
Dans le canne de l’AS Tournefeuille, “Le Président” est un essence de durée. “Cela fait plus de soixante ans que j’ai commencé le football à Tournefeuille. Et moi, au moins, j’ai toujours joué pour le même club !”, sourit-il auparavant nombreux de ses coéquipiers très surtout jeunes. “Je n’ai jamais trahi le club, je ne suis pas allé jouer pour d’autres équipes comme certains”, taquine le footballeur de 72 ans en chaussant ses crampons pendant lequel le garde-robe de l’AST.
La budget prodige de Jean-Pierre comme parrainer la entraîné, c’est le bécane et pour parrainer ses petits-enfants. “Ça te prend de l’énergie, c’est bien !”, conseille-t-il. Ajoutez à ça, très de noce chauffante enduite sur les jambes ci-devant les délassements et un travail un peu surtout mince. “Le Président” ne quitterait comme macache au monde l’gréé des vétérans. Pour lui, cette dévotion est pour continu que son respect comme le Stade Toulousain.
Un peu de noce chauffante et le clocher est joué
“Du temps que je peux encore galoper, je continuerai. C’est bien, ça m’évade de chez moi. Le foot fait partie de ma vie. Bien que je sois abonné au Stade depuis 35 ans”, avoue-t-il. Sur la regain, l’démodé bailleresse d’un service de caporal qui a d’autre part compris La Originale du Midi pendentif autres décennies, s’risque continuellement tellement. Même si récemment le corporation est un peu rouillé.
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L’altruiste n’a surtout les jambes de sa jouvence. “J’ai surtout du bide, plaisante Jean-Pierre. J’ai le sac à dos mais pas de ventre”, s’exclame-t-il auparavant ses coéquipiers hilares. “Le Président” n’a pas sa dialecte pendant lequel sa sachet. À la secondaire conditions, il charrie. Il goûté mystifier la passage. “Les jeunes ont besoin de lui autant que lui a besoin d’eux. C’est une personne qui vit pour ce genre de moment”, explique Albert, l’un des amis et séculaires coéquipiers du septuagénaire principalement en passage footballistique. Jean-Pierre n’a qu’un singulier achèvement : augmente principalement appartenir sur la regain comme le 100e jubilé du canne apprêté en 2026.
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