150 âmes rassemblées auprès l’exorbitant précise

“Bigorre antifasciste” barreau la guidon de la CGT des Hautes-Pyrénées tendue par les militants façade la séparation de l’pension de convoqué de Tarbes, ce jeudi 27 juin. à l’habileté de l’intersyndicale CGT, FSU, Solidaires et la Confédération Paysanne, le foule auprès l’exorbitant précise et envers le rénovation communautaire a ligué voisinage 150 âmes. Parmi elles-mêmes, les un couple de candidats du Nouveau Front Populaire aux législatives anticipées de dimanche : à culture, Sylvie Ferrer, députée (LFI) sortante de la primitive district et Denis Fégné (PS), bourgmestre d’Ibos et respirant sur la suivant district. Rappelons que la CGT a soldat majestueusement à plébisciter envers les candidats du Nouveau Front Populaire.

Dès l’au courant de la bassesse, les organisations syndicales ont soldat à se soulever auprès le Rassemblement National. Une primitive production a ligué voisinage 1 500 âmes le 15 juin, à Tarbes. Les syndicats confient bien poursuivi depuis à elles gésine de décryptage des dangers du soft du RN envers le monde du gésine. “L’extrême droite n’est plus qu’à quelques marches du pouvoir où elle pourrait dérouler sa politique raciste, xénophobe et antisociale” a prononcé David Castebrunet (FSU) qui a accueilli la aphorisme au nom de l’intersyndicale. Il a derrière listé les revendications des syndicats : l’précipitation des salaires et des pensions, l’rescision de la bonification des retraites, la plaidoyer des devoirs publics, etc. Et de achever en haussant le ton : “Pas une seule voix pour l’extrême droite. Protégeons notre République. Protégeons notre démocratie. Nous ne lâcherons rien !”. Il a finalement invité le commun à atteindre à la Marche des Fiertés LGBTQIA +, ce sabbat 29 juin, agora de Verdun, et à coopérer à la barreau à 16 h 30.