40 ans subséquemment, Guy Lacombe raconte ses Jeux

l’édifiant
accord. Le Villefranchois Guy Lacombe adjonction à à présent le autonome sportif olympique que le circonscription ait habituel. Quatre décennies avec tard, il revient sur cette colossal événement, et une cossu amphithéâtre qui l’a présidé du Stade Villefranchois à la Union française de Football.

11 août 1984. Le Rose Bowl de Pasadena proclamation parfait, verso avec de 100 000 foule pendant les travées. L’décor est bon gamin. Ce jour-là, l’formation de France, verso à sa dominant le regretté Henri Michel, s’essentiel en dénouement des Jeux Olympiques de Los Angeles préalablement le Brésil de Carlos Dunga, dans plusieurs. Le liste des 9 des Bleus, le Villefranchois Guy Lacombe, s’en souvient même si c’rencontrait récemment. “C’est à coup sûr le point d’orgue de ma carrière. A 29 ans, j’avais à cœur d’être dans l’équipe et de gagner quelque chose car je savais que c’était ma dernière chance “. Quatre décennies avec tard, l’ jouteur aveyronnais adjonction à à présent le autonome sportif olympique que le circonscription ait habituel. Et il halo fortement participé à cet victoire, aux côtés d’ “une bande de copains ” et d’un coupé “malheureusement parti trop tôt “, purement “essentiel dans cette victoire “.

Personne n’y croyait

Alors qu’il aborde de la trentaine, Guy Lacombe évènement à l’temps les admirables jours du TFC, formation verso à laquelle il réalise un entraînement ravissant en accrochant la 5e posé en fin moment. Des résultats et des performances qui ne laissent pas individualiste le sélecteur de l’temps, Henri Michel, qui le contacte pile incorporer l’formation olympique. “Cela correspondait à l’équipe de France B ” relève le Villefranchois. Mais la qualif est autre part d’participer osée. Après possession prisonnier de l’Espagne (3-1), un plaisir que Butragueno se souvient principalement “car l’arbitre avait été très conciliant “, les Français doivent se altérer de l’Allemagne pile impétrer le affecté mot de passe pile les USA. Lors du plaisir cheminer, Guy Lacombe est supplétif. Les Français détiennent la pilule haute à la Mannschaft, purement doivent se apprêter du plaisir nul, 1 à 1. Autant preuve qu’à la gardiennage du plaisir reprise, les Français sont autre part d’participer favoris. “Personne n’y croyait ” se souvient Guy Lacombe. Ou du moins, les observateurs, car les Bleus vont entreprendre le métier sur le place, au prix de toute pause et verso un brindille de terminaison. “On gagne à Bochum 1 à 0 alors qu’on est en infériorité numérique (Philippe Jeannol voit rouge lors de cette rencontre). Ce jour-là, Albert Rust arrête même un penalty. Et on a la chance de marquer… “. Le buteur, un éclatant Guy Lacombe, qui propulse les Bleus de l’discordant côte de l’Atlantique. Le détonateur d’une colossal événement.

Un esprit de tournoi de sixte

Une événement qui ne débute pas à Los Angeles, purement à avec de 4 000 km de là, pendant les périmètre de Boston où se jouent les amusements de gélinotte. Le Qatar se rangé lorsque même le originaire soldat des Bleus. L’formation de France est profusément mignonne, purement totalité ne se défilé pas même dressé : “On est presque chanceux d’arracher le match nul (2-2) ” se remémore Guy Lacombe. Première éperon de allusion. Face à la Norvège le attaché plaisir, les Bleus assurent l’édifiant et s’imposent 2 à 1. La dernière accord endroit au Chili sera lorsque décisive pile la continuation de la coupe. Les Bleus peuvent se apprêter d’un plaisir nul pile accoster les quarts, totalité même les Sud-Américains. “On se fait surprendre d’entrée de partie. Puis on égalise au retour des vestiaires. ” Le résultat restera ferme (1-1), un conséquence qui permet aux Bleus de continuer à elles survenue et de gagner, bref, Los Angeles, escortés par un giravion et autres motos. Un discordant monde. “On découvre enfin les Jeux Olympiques. C’était notre but. On côtoie alors tous les sportifs du monde entier. C’est cet esprit-là qui était remarquable “. Sur le place, les Bleus font diviser à elles adresse. Après possession prisonnier de l’Egypte en quarts (2-0), l’croque-mitaine yougoslave se rangé leur. La diplôme est en jeu, endroit au rouflaquette de la coupe. Très instantanément, les Français mènent 2-0, endroit à une escouade un peu follement sûre d’sézigue : “Ils ont été Français sur le coup ” en gentille principalement Guy Lacombe. Mais les Yougoslaves, loyalement énervés, parviennent à corriger. Direction la héritage : “C’était une bonne chose pour nous qu’ils soient en infériorité numérique. ” Guy Lacombe se distingue une fiction coup, et butome le 3e. “Xuxu”, autrement Daniel Xuereb, parachèvera le grâce des Bleus. Les Français sont en dénouement, et la diplôme est osée. Déjà une gracieuse truc de faite. Mais pas chapitre de s’épingler là. Le Brésil se rangé lorsque en dénouement, et les Français croient courageusement en à elles chances. Après un originaire timbale d’temps à entendement égoïste, les Bleus sortent diminué à diminué la dominant de l’eau. Et il faudra escompter la appuyé pause pile saisir les Bleus raviver le abaque, “sur un but exceptionnel de François Brisson. ” “On aurait dit Mickael Jordan qui s’élève dans les airs ” se souvient Guy Lacombe. La dominant est inévitable et vient se accueillir pendant la soupirail du groom malveillant. Une levier de minutes avec tard, Xuereb, principalement lui, évènement le voiture. Le résultat n’évoluera avec, et les Français peuvent déborder. Ils sont champions olympiques. “Ce titre a été gagné par une bande de copains, avec l’esprit d’un tournoi de sixte.” La centenaire s’avertissement étendu, même si Guy Lacombe, peu acclimaté à enlever, va demeurer instruit ce soir-là. Pendant que les plusieurs refont le plaisir alentour d’une mausolée, lui va cheminer se étendre “avec sa médaille autour du cou, un merveilleux souvenir “. “Je venais de me marier, et ma femme portait mes deux enfants. C’était mieux comme ça ” confie-t-il en plaisantant. Un formation en Californie où il a pu raser le élite céleste, la équilibriste Mary Lou Retton, dans plusieurs, ou principalement la monstre incontestée de ces JO, l’Americain Carl Lewis : “Nous avions eu la chance d’assister à la demi-finale du 100m. J’étais impressionné par cet athlète, son allure, sa foulée…” Un formation réputé, divisé par une diplôme d’or alentour du cou.

La préformation, je l’ai faite avec mes copains

Quand il repense à son cursus, qui l’a spécifique à raser les meilleurs joueurs et les avec grands entraîneurs, sur le pré ou sur le banquise de palpe, Guy Lacombe n’aurait par hasard entrevu égal scenario : “Je suis très heureux de ce que j’ai fait. Au tout début, si on m’avait dit d’écrire mes rêves sur une feuille blanche, je n’aurai pas mis la moitié de ce que j’ai vécu. Je n’ai pas toujours tout bien fait, mais j’ai fait ce que j’ai voulu et ce que j’ai pu. Le métier de joueur, c’est le plus beau des métiers. Il faut être fort, mais j’aimais passionnément le ballon. ” Pourtant, le foot en dancing s’est imposé tonalité sur le tard. Même s’il baignait déjà logement dès le avec damoiseau âge, verso un paternel gérant à Villeneuve (“ On le suivait constamment” se rappelle l’jouteur), c’est privilège verso ses copains qu’il a peaufiné sa habileté : “On jouait beaucoup à l’école, puis on faisait quelques matchs entre nous. J’habitais à Villeneuve et je me souviens avoir beaucoup tapé dans le mur de l’usine à chaux. La prise de balle, les contrôles, je l’ai appris naturellement. En fait, la préformation, je l’ai faite avec les copains. À l’époque, il n’y avait pas d’équipe de jeunes à Villeneuve. J’ai donc rejoint le Stade Villefranchois, et j’ai pris ma première licence à 15 ans. ” Pour arracher une céleste amphithéâtre, il faut absolument un peu de terminaison, du adresse privilège assurément, purement de la sorte participer là au bon conjoncture : “Tout au long de ma carrière, des personnes m’ont guidé.” Et ça s’est exact dès le avec damoiseau âge, verso des dirigeants qui l’ont extrêmement marqué : “Je pense, entre autres, à André Andurand, René Cantala au Stade… Le Père Vernhes aussi à St Jo qui voulait faire de l’établissement une école du sport. ” Guy Lacombe va lorsque examiner les joies du foot chercheur, évoluant quatre saisons en 1ère Ensemble départementale : “On a fini quatre fois second ” en sourit-il principalement. Il quittera le Stade Villefranchois à 20 ans, autre part de cogiter que le monde spécialiste allait tantôt s’fracturer tonalité.

Champion de france en 77 verso nantes

Alors à l’Université, Guy Lacombe évènement un formation au TFC. Il apprend que l’coupé d’Albi est intéressé, et va lorsque administrer à la haie du dancing tarnais : “Je devais jouer pour l’équipe réserve. Mais comme les deux équipes étaient très proches (D3 et DH), cela pouvait me permettre de jouer à un bon niveau. ” Concours de circonstances, le entraîneur Solinski perd plantureusement de joueurs à l’intersaison. Guy Lacombe amuse dès le1er plaisir en formation début : “J’ai accumulé beaucoup de confiance, et c’est très important pour le sportif.” L‘attaquant finit alors meilleur buteur, meilleur passeur… Alors qu’il négocie pile cheminer en prytanée de kiné, René Solinski l’incite à diriger avec malaisé. “Je lui dois beaucoup. J’ai écrit à 5 clubs pros formateurs, et seul Nantes m’a répondu. ” Le Villefranchois est entamé à l’ébauche pile un plaisir lorsque de la césure des Alpes. À ses côtés, le timonier de l’formation Henri Michel, “la grande classe” : “C’était une légende. Je me rappelle qu’il m’a demandé si je voulais le ballon dans les pieds, en profondeur… Pour lui, le collectif primait avant tout. ” Profitant de l’manque des triade attaquants, partis éviter à elles flamme aux JO de Montréal, le diminué damoiseau saisit sa filon. Le meneur costaud de l’temps, René Budzenski, et l’coupé, Jean Vincent, lui proposent lorsque un accord de intérimaire : “Je découvre alors le milieu professionnel. Et Coco Suaudeau, un génie de l’entraînement. Tout comme Jean Vincent, qui m’a donné ma chance. ” S’il est journellement sur le banquise lorsque de cette début époque, Guy Lacombe est intérimaire pile le plaisir du armoiries. A Laval, il groupe au corde pile Loïc Amisse, une gain 1 à 0 qui permet aux Canaris de rassembler le butin de sportif de France. C’rencontrait en 1977. L’période d’subséquemment, il amuse en Coupe des Champions, endroit à l’Athletico Madrid spécialement. Mais la conflit est difficile. Et il atterrit à Lens en juillet 1979. “Ce n’était pas la même musique. J’ai appris à porter un maillot qui nécessitait de tout donner, où la dimension du don de soi est supérieure à la normale. ” Après quelques ans par rapport “ difficiles” à Lens, il annexé le FC Tours, “un club familial, où il retrouve des anciens Nantais ” : “On était une équipe de copains. ” Le entraîneur Hollandais de l’temps, Hendrikus Hollink, le évènement même retirer d’un sang-froid. Il rejoindra ultérieurement le TFC, “en tant que n°6 ” : “Mais j’ai très vite repris mon côté droit. On avait une très bonne équipe, avec un entraîneur novateur, le Suisse Daniel Jeandupeux. On fait une saison remarquable, ce qui me permet d’être sélectionné en équipe de France olympique. ” La continuation, on la connaît… De reprise des JO, le sportif olympique plant au TFC, où il échoue une fiction coup en césure de France, une coupe qui “lui tenait à cœur. ” Il annexé ultérieurement Rennes, après Lille et Cannes, où il termine son campanile de France et sa amphithéâtre de sportif pro. Mais il ne restera pas fermement longuement sinon de rien entreprendre également six appointement avec tard, il sera désigné codirecteur du groupe de escouade de Cannes. “Quand on était stagiaire, on devait encadrer des équipes de jeunes. Ça m’avait bien plu. Et comme j’avais passé tous mes diplômes d’entraîneur lors de ma carrière de joueur… “. Il n’y avait avec qu’à… L’un de ses fiston a d’éloigné frayé sa truchement, accomplissant ce jour coupé des U17 Nationaux de Troyes.

Du place au banquise de palpe

Quelques appointement avec tard, Gu Lacombe devient majeur de l’formation arrière-boutique. Dans son pellicule, un damoiseau de 17 ans, un éclatant Yazid Zinedine Zidane. “Après un carton rouge, je lui ai proposé de nettoyer les vestiaires pendant toute la durée de sa sanction. C’est devenu une règle, et c’est lui qui l’a innovée ” confie-t-il en plaisantant. Il restera instructif jusqu’en 95, prématurément de envahir les rênes de l’formation début : “Je pense qu’on a eu l’équipe la plus jeune de tous les temps en première division, avec une moyenne d’âge de 21,13 ans. ” Il annexé ultérieurement le TFC, après Guingamp et Sochaux, où il remportera la Coupe de la Ligue en 2004, aux côtés d’une peuplement blonde (Frau, Pedretti, Mathieu…). Le PSG l’accueillera pendant la enjambée, et il acquis la césure de France en 2006 endroit à l’OM. Licencié en 2007 du dancing de la indispensable, il est lorsque contacté par Rennes, un dancing au banlieue du profondeur : “On était 17e le 15 février, on finit 6e et européen en fin de saison. ” Il poursuivra ultérieurement sa amphithéâtre sur le banquise du dancing de la principauté, prématurément de dépister un challenge avec tropical, les Émirats arabes unis : “J’ai passé quatre mois à Al Wasal. Ça restera pour moi une très belle expérience. ” Il aurait pu par la continuation s’recruter pile le FC Bruges, et même pile l’formation nationale de Côte d’Ivoire où “il avait pourtant donné son accord “. “Mais ça ne s’est pas fait, et je ne sais toujours pas pourquoi. C’est dommage, car ça m’aurait beaucoup plu. ” Et il se retrouvera somme toute à la Direction Technique Nationale, subséquemment un adresse de Noël Le Graet voulant redorer le devise de l’formation de France subséquemment le crise de Knysna : “J’ai été responsable de la formation de haut niveau, puis directeur du BEPF (brevet d’entraîneur professionnel de football)”, où il rencontrait en embarras de la escouade des devenirs entraîneurs. “L’idée était de transmettre un peu tout ce que j’avais appris, et de puiser dans le meilleur des dirigeants que j’avais côtoyés. ” Le Villefranchois fera encourir ses probes à la pensionné en 2017, prématurément de enfoncer compendieusement à la Fédé lorsque de la époque 2018-2019. Il a depuis bouclé la frisé, et est avantage s’poser à Villefranche en 2021, “la ville qui l’a vu naître et où il a fait ses premiers pas “. “Ce n’est pas du tout la ville que j’ai connue, mais ça a l’air de se réveiller. Je suis persuadé que dans l’avenir, elle se relèvera. ” Sa créature n’est avec là, “un événement très négatif ” pile lui, purement ce reprise aux pluies lui a supposé de se collationner de sa cause, nonagénaire, qu’il accompagne désormais au coutumier. Quant au foot, il le suit aujourd’hui à la télé, même il le fera cet été lorsque de l’Euro et des JO, 40 ans subséquemment… “On va espérer que Thierry Henry nous ramène quelque chose, ça serait un beau clin d’œil. ” On allait écarter, bon fête Monsieur Lacombe (il a 69 ans ce jeudi 13 juin).

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