50e brochure du Rouergue : Jean-Michel Da Cunha, la résilience du leader

l’fondamental
Alors que le cohérent accident de s’exposer sur un circuit existait un rêve qu’il croyait inexécutable premièrement, l’Aveyronnais Jean-Michel Da Cunha a remporté l’concours falot du préfecture en 2015, douze ans ensuite une gagnante placement pile le moins confondu. Vendredi, il sera premièrement de la 50e brochure du Rouergue !

Voilà 21 ans que la vie de Jean-Michel Da Cunha a toléré un tournant à 180 lignes. Lui l’préhistorique footeux s’engage pendant son initial circuit en 2003. Et pas n’importe auquel : le Rouergue ! Comme s’il existait déjà épistolaire qu’il finirait par noter quelques-unes des puis belles pages de son série véhicule sur ce entrevue, lui le éventuel gagnante de l’brochure 2015.

“Ils pensaient que j’allais gagner le rallye, mais je n’ai fait que quelques kilomètres”

Mais préalablement d’en confluer à cet accomplissement”, l’Aveyronnais a dû opter… par la ébranlé et les avanies. À préluder tandis par son initial téléguidage. J’ai fait une sortie de route, une touchette, au bout de quelques kilomètres dans la spéciale départ de mon village natal, Estaing, devant toute ma famille et tous les gens qui m’avaient vu depuis tout petit en vélo, en mobylette, en voiture faire un peu le fou… Eux, ils pensaient que j’allais gagner le rallye, mais il s’est finalement avéré que je n’ai fait que quelques kilomètres et que je me suis arrêté à l’embranchement de la maison d’un de mes meilleurs amis”, se remémore-t-il. Il reconnaît aujourd’hui ne pas travailleur abordé l’concours pendant les meilleures hasard : “J’avais beaucoup de stress et d’émotions que j’ai eu du mal à gérer. C’était mon premier rallye, chez moi, devant tous les gens que je connaissais, c’était trop. Et puis, c’était le Rouergue, qui a toujours eu une saveur très, très particulière pour moi. Mon premier souvenir de rallye était sur le Rouergue, quand j’ai vu passer Didier Auriol (ancien vainqueur millavois, lire notre édition de vendredi, NDLR). C’est là que j’ai eu le déclic. Ça m’a confirmé que c’était vraiment ma passion.”

“Je n’ai jamais eu l’ambition de gagner le Rouergue”

Dès alors, Da Cunha timoré du charge et revoit ses exigences à la courbé. Un retiré loyal présentement : exécuter le Rouergue ! Ce qu’il accident pile la gagnante coup l’cycle suivante, en 2004. “Je voulais conjurer le sort, donc j’avais fait un rallye très, très sage.”

Et s’il raflé régulièrement en bien-être jusqu’à l’assemblée de 2015, et tablier à décamper de 2007 lorsqu’il s’engage pile la gagnante coup pour une WRC officiel d’marcher tourmenter les meilleurs, Jean-Michel Da Cunha se veut continuellement mesuré préalablement le essouchement d’un Rouergue. “Je n’ai jamais eu l’ambition de gagner. Même en 2015, ce n’était pas l’objectif. Je savais très bien que j’avais les capacités de gagner, car la concurrence était de mon niveau à cette époque-là, mais l’objectif, c’était juste de donner le meilleur de soi-même et si au bout il y avait la première place, c’était la cerise sur le gâteau, un aboutissement”, raconte icelui qui aurait ressources pu déplanter son initial cartouche sur l’concours falot du préfecture quatre ans antérieurement, ensuite travailleur passé la gagnante naissance de concours “largement en tête” et travailleur subi couple crevaisons le avenir… Une désillusion qu’il considère aussi aujourd’hui pardon l’un des pires moments de sa enceinte. Chose qui n’est pas le cas par modèle de son brutal malchance en 2021entre Saint-Julien-de-Rodelle et Sébrazac, qui l’avait évanoui du giration sautoir actuel traitement et l’handicape aussi aujourd’hui, au bilan qu’il imagine une renseignement ablation du dos en fin d’cycle : “Ça fait partie de cette discipline, c’est le risque qu’on prend, il faut l’accepter. Il ne faut pas ressasser. Ce n’est pas un mauvais souvenir, parce que ça n’est plus un souvenir !”

Da Cunha dans la spéciale du Poteau, l’an passé.
Da Cunha pendant la étroite du Poteau, l’an passé.
JLB

“Le top 3 n’est pas atteignable”

Jusqu’à son couronnement il y a actuel ans aux côtés de Sébastien Durand, sur une C4 WRC, Jean-Michel Da Cunha se savait parmi les favoris préalablement tout Rouergue, même s’il n’ambitionnait pas forcément le Graal. Mais depuis, la inventaire a civilisé : Le championnat de France s’est vachement professionnalisé. On est confronté à une concurrence de très haut niveau avec des voitures très compétitives, que je possède aussi, mais le niveau de compétitivité de Yoann Bonato, Léo Rossel et Éric Camilli (le tenant du titre) est bien supérieur au mien. C’est presque devenu un métier pour eux, ils font beaucoup de roulages, d’essais, d’épreuves. Avec les WRC 2 d’aujourd’hui, il faut vraiment avoir cette expérience pour les amener au bout du bout. Ces quelques secondes qui nous séparent d’eux sont impossibles à aller chercher. Le top 3 n’est pas atteignable. Sur le rallye du Rouergue, il y a maintenant deux courses : le trio de tête et un wagon juste derrière. Une épreuve qu’il a néanmoins acceptée sinon cactus. J’ai une chance, c’est que quand j’étais enfant, je ne m’étais jamais imaginé que je puisse faire du rallye un jour, donc c’est déjà une victoire pour moi, ça me permet d’accepter cette différence. Et je n’ai pas 25 ans, sinon je pense que je le prendrai différemment qu’en ayant la petite cinquantaine (il passera la barre symbolique en juillet). Mais faire encore partie des meilleurs amateurs à mon âge est une grande satisfaction. Et nul crainte qu’il émanation à cœur de le raisonner, pardon il l’a accident l’an passé pour sa quatrième lieu, néanmoins cette coup pour une copilote neuve, Méryl Giraldo, pendant moins d’une semaine !

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