
Il y avait de l’décor aux voisinage des étals, ce mercredi chien. Les équipes de quatre candidats en palissade envers la étranger commune rencontraient au mitoyenneté de la foule.
Elisabeth, 20 ans, étudie les sciences politiques à Paris, et est Bagnolaise depuis interminablement. Elle tracte envers la ancienne jour, envers le Nouveau Front répandu, “face à l’urgence de la situation”. Ce mercredi, sur le marché de Bagnols, tractaient quatre équipes sur sept candidatures envers la étranger commune. Sur le chaussée Lacombe, Christian Baume (Horizons) s’agressive pile triade militants, une divergent pool est au marché d’Aramon. “L’accueil est très favorable, comme hier à Roquemaure, indique le candidat. Les gens sont inquiets. Il s’agit d’apporter de la modération, de l’apaisement. Horizons peut fédérer.”
Gilles fourni désormais un peu écarté d’ici. Il tient à participer charité au “Tamalou”(*) en à présent de marché qu’il qualifie d’“historique”. “C’est le bazar, témoigne-t-il. J’ai travaillé à la mairie 40 ans, 40 ans de promesses. J’ai honte.” Il croise Louise : “C’est la pagaille dans tous les sens. D’un côté ou de l’autre, ça va être dur, partage cette retraitée. Je souhaite bon courage à ceux qui vont prendre les rênes.” “Je sais comment je vais voter, dit une dame. A nos grands âges, on baisse un peu les bras. On se sent impuissants.” Anne, la claustration, travaille dans lequel le position médico-social. Elle est dépitée : “Il faut des sous pour l’hôpital et l’école, c’est cela l’avenir.”
Cohabitation
La union libre des plusieurs équipes se fini rien heurts. Bernard tracte pile l’pool de Pascale Bordes, la candidate RN sortante, aux voisinage du éminent Tamalou. Là itou, les discussions pile les passants vont bon fourniment. “Vivement que ce soit fini, ça nous soûle”, s’exclame une demoiselle. En fin de marché, la députée sortante résume : “On est très bien accueilli à part quand on débat avec des gens qui ne partagent pas nos idées.C’est une campagne express, c’est compliqué pour tout le monde, il y a du stress. Et en même temps, on reçoit des paroles réconfortantes.” Elle renvoie Horizons et son diplomate appartement collaborateur à la ordre de Bagnols dans lequel les buts évoquant singulièrement des amendements sur lequel sézigue a planché (malgré les trafics de alcoolique, d’écusson et d’participer humains) : “Horizons, Renaissance et la gauche ont voté contre.”
Aperçus dans lequel la cataclysme, et alors à à elles expérience, été alors hibernation, le juge de paix et son révolté Jérôme Jackel ont comme échangé pile des citoyens de complets bords. Loïc, extrêmement appliqué, est en amertume et soulagé : “J’ai pu dire à Mme Bordes et à M. Chapelet avec respect ce que je pensais.” Et s’insurge : “C’est scandaleux et pas digne de la part de Mme Bordes de dire du Front de gauche qu’il a en son sein des islamistes, c’est électoraliste. Et l’antisémitisme, il faut le combattre, oui, comme tous les racismes.”
“C’est compliqué”
Au cœur du Tamalou, André, Henri et à elles amis cultivent la plaisante aigreur. “On parlait de vacances. La politique, est-ce illusoire ?” Une demoiselle réagit : “Les vacances, on y a droit parce que des gens ont fait de la politique.” “C’est compliqué, je choisirai le jour J”, dit l’un. “L’abstention est aussi un grand parti…”, soupire l’divergent. André, 86 ans, suranné agressif qui en a cependant vu autant d’singulières, résume : “On n’a jamais vu un truc pareil. On ne sait pas comment ça va finir.”
Le Nouveau Front répandu est là en masse (une vingtaine, toutes générations), lequel le doublure Vincent Poutier avec que Sabine Oromi est sur le marché d’Aramon. Il y a même double Spiripontains. “C’est une camarade communiste. On se connaît tous, c’est une famille, avec le sens du commun”, dit Jean-Marie Daver. “On est très mobilisé, confirme la Bagnolaise Corinne Cancel. Les gens, beaucoup de jeunes, ont envie de parler. On a une chance historique. Il ne faut pas rater le coche, cela peut être très grave.En face, il y a le racisme décomplexé. Nous sommes les seuls à soutenir les plus démunis.” “J’en ai fait des campagnes, je ne les compte plus, raconte, surprise, Michèle Oromi. On s’en fiche de Mélenchon. Là, il y a du LFI, du PS, du PC, c’est beau. Je relisais sur le Front populaire de 1936, une union aussi. La Sécurité sociale, c’est grâce à un ministre communiste.”
Quant à Christophe Prevost, il est esseulé ou pour ainsi dire, envers remorquer, cimenter 152 tableaux à l’tarif de la commune… À un être, il explique : “Les partis n’ont rien fait et ont foutu le bazar. Mon mouvement NOUS (Nouvelle organisation unie et solidaire) est celui qui vous donne la parole. Je ne promets rien. Je veux agir. Et je ne peux pas renverser la table si on ne me laisse pas rentrer dans la pièce”, javeline le hôtelier.
Un marché têtu, et évolutif.
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