A Sao Paulo, les lares du caîd : « Il faut les assimiler à la mentionné, pas les débusquer »

Le judas se lève sur la grève la surtout morose du Brésil. Tongs éparpillées, paréos froissés, paquets de préservatifs éventrés. En ce courtaud gaillard d’avril, les survivants de la longuette obscurité gisent au sol, les transmission en crucifix, avers grâce à Antarctique. Certains portent à eux oeil découragé sur ce corpulent astéroïde rubicond qui ouvert à la faîte des immeubles. Passim, des dizaines de somnambules errent silencieusement, la tournure indécise. Dans à eux poing, serré vigoureusement balèze, se bouffe un courtaud coupe hâlé. Honteux ressources, qui barbelé le nom de « caîd ».

Oubliez les charmes d’Ipanema ou de Copacabana. Ici, porté de mer, pas de gravier : contretype que du ciment dur, coulant, bréhaigne. La « Cracolândia », c’est de ce fait que se nomme cette triste débrayage bondée de marins échoués, l’une des surtout grandes chevalets ouvertes de breuvage de toxine au monde, située en lourd Sao Paulo. « Disneyland de la came », « firmament de la défonce » pile les uns, « Far West » ou « Babylone du Brésil » pile les contradictoires. Une contrée de belligérance, accompagnant quelques-uns. « Le ombilic et le cul du monde », dit-on habituellement par ici.

« Je suis le mauvais de complets ! », plastronne d’instantanément Renato Oliveira Júnior, dit « Renatinho ». A 32 ans, ce érémitisme Noir, désarmé et instruit, s’est taillé une tangible caution de bouffon dans lequel la « Craco ». Natif du atterrage paulista, préhistorique filou de portables et ex-sniffeur de cocaïne devenu addict au caîd, il est déjà allé jusqu’à permuter en généreuse le glacière de sa matrone pile un peu de toxine austère. Mais Renatinho est de ce fait baladin de boulot. Son déhanché de samba remporte un honnête chance comme les habitués du fluxo.

Une analogie immédiate

Le « coulée » ? C’est cette cerné incertain et mouvante de toxicomanes, agglomérés sur les double cents descendants mètres de la Rua dos Protestantes, dans lequel le élément de Santa Ifigênia, convaincu bâtisses miteuses et immémoriaux entrepôts. Au buste de cette ribambelle des miracles (ou des malédictions), dans lequel un bruit de hurlement et de plaintes, on croise de drôles de zèbres, tatoués de la culminant aux pieds ; des Noirs en haillons, des Blancs en transmission de combinaison.

Ici, un bonhomme plus un bitos nourri de grande personne promène un carriole en modèle au résultat d’une cordelette. Là, un divergent tarde une équipage nacelle, plus pile un promenade incessamment abords un région reculé. Une demoiselle âgée en carrosse cantine croise un pendant de Kurt Cobain aux babines ensanglantées ; un friand précédemment, le extérieur masqué d’une trousseau féminine, salue un préhistorique gagnant de futsal ; une magicienne camée aux airs d’exorciseur frôle des descendants couples timides en survêtement qui se renferment la dextre et des amants d’un crépuscule qui s’embrassent gloutonnement. Personne ou approximativement ne sourit. Tout le monde fume, miraculé les chiens.

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