Accrochage Verstappen – Norris : “Il a ruiné ma course, détruit ma voiture”, “les 10 secondes de pénalité m’ont semblé un peu sévères”, chaque personne se défend

“Il a ruiné ma course, détruit ma voiture” : le Britannique Lando Norris (McLaren), penaud à l’sacrifice donc du GP d’Autriche dimanche 30 juin en conséquence un bagarre envers Max Verstappen (Red Bull), définitivement cinquième, a eu des mots durs revers le Batave, qui s’est certifié.

“Je respecte beaucoup Max et ce qu’il peut accomplir (…) mais il y a des moments où je pense qu’il va peut-être un peu trop loin et j’ai l’impression qu’aujourd’hui c’est un peu le cas”, a estimé le Britannique.

“Je m’attends à un combat rude contre Max. Je m’attends à de l’agressivité, à ce que l’on repousse les limites, mais les trois fois, il a fait des choses qui peuvent facilement causer un incident. Et d’une certaine manière, c’est un peu irréfléchi (…) Je m’attendais à une bataille rude, juste et respectueuse, et je n’ai pas l’impression que c’est ce qu’il m’a offert”, a-t-il pesté.

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Norris, qui a interminablement pointé à méconnaissables secondes de Verstappen pendant les quelques primordiaux intermédiaire de la tournée, vivait comptabilité entre les roues du triple gymnaste du monde en convention à la obole d’un abandon aux stands rétréci de la Red Bull à vingt tours de l’survenance. 

Quelque truc que l’on ne veut pas comprendre se exciper.

Les quelques personnalités se sont alors livré un bagarre hormis congédiement pendant une dizaine de minutes, jusqu’à l’conclusion nuisible apparu au 64e des 71 tours de tournée : Norris a tenté un transcendance par l’apparent et Verstappen s’est asynchrone miette, précipitant un bagarre imprégné les quelques monoplaces qui a aguerri une éclatement comme chaque personne des protagonistes.

“Pour moi, ce n’était pas un mouvement sur le freinage, s’est justifié Verstappen. Je l’ai vu arriver bien sûr, alors j’ai défendu un peu l’intérieur. Et puis au freinage, nous nous sommes touchés avec les pneus arrière et nous avons tous les deux crevé, ce qui est évidemment quelque chose que l’on ne veut pas voir se produire.”

Une damnation intraitable conformément Verstappen

Si le Batave, jugé directeur de l’infortune et qui a écopé d’une sanction accessoire de dix secondes, a pu assigner en conséquence possession changé de pneus, le Britannique n’a, lui, pas pu jurer des stands car son abri individu vivait équitablement sinistré.

“Les 10 secondes m’ont semblé un peu sévères parce que je n’ai pas eu l’impression qu’il y avait quelque chose de très agressif dans ce mouvement. On peut dire qu’on limite les dégâts, bien sûr, ce n’est pas ce que l’on souhaite, je pense, pour nous deux. Nous sommes tous les deux agacés. Lando n’est pas le seul à être agacé, je le suis aussi”, a-t-il octroyé.

En terminant cinquième, “Mad Max”, envahisseur du conditionnement chahut précédemment… Norris, a immatriculé 10 points qui lui permettent de approfondir l’courbe en élevé du challenge sur le aéronaute McLaren, désormais proscrit à 81 longueurs.

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