Affaire Cosson-Gares : “des petits mots de petits politiques qui font qu’un homme a été traîné dans la boue”… le chambre de Rodez tranchera le 16 juillet

l’constitutif
Jugée ce mercredi en fin de session, l’absorbé en factum pénétré l’élu Jean-Michel Cosson et l’cause national Bruno Gares n’a régulièrement pas trouvé son leçon. Le chambre rendra sa acceptation le 16 juillet.

“Petit politique”, “opposition bâillonnée”… Comme préparé, le occupation de l’élu ruthénois d’dégoût Jean-Michel Cosson pile des déclaration diffamatoires à l’opposé de l’cause national Bruno Gares fut l’opportunité d’une neuve consommé d’panonceau, au climat auxquels fut convoqué même assistant le fonctionnaire Christian Teyssèdre. Chacun campant sur ses positions. Pour souvenance, le 27 septembre extrême, tandis d’un causerie d’agrégation, Jean-Michel Cosson s’vivait torturé sur “un emploi de complaisance” voué par la groupe à Bruno Gares, plus directeur de la Société française d’sabre. “Nous découvrons une convention de mise à disposition partielle, certes légale, mais ne s’agit-il pas d’un emploi que nous appellerons de complaisance et que nous dénonçons”, avait-il expédient expressément.

Gares s’est dit “énormément touché”

Devant le chambre, ce mercredi brune, l’personnalité économie a “assumé” ses déclaration. “Comme je le fais à chaque conseil et comme cela se fait partout en France, je continuerai à m’interroger sur des notes présentées”, a-t-il expédient à la montant, invariable comme la foire d’popularité par discordantes de ses camarades de l’dégoût, Sarah Vidal singulièrement. Bruno Gares s’est dit, lui, “énormément touché par les propos découverts dans la presse le soir même de ce conseil alors que j’étais à Paris…” Il a ultérieurement appelé qu’il avait demandé, même de main en tellement que titulaire, sa réadaptation comme la groupe en intellection de “problèmes personnels”. “Je voulais retrouver un cocon familial ici”, a supplétif celui-là qui trio jours encore tard démissionnait de son estafette de directeur de la FFE.

“Pas un simple fonctionnaire…”

Son comptable, Me Luc Abratkiewicz a eu un ton encore zélé. Dans sa propos, il a livré “des petits mots de petits politiques qui font qu’un homme a été traîné dans la boue. Nous sommes tous attachés à la liberté d’expression mais mon client est un dommage collatéral d’une querelle politicienne. Un emploi de complaisance, c’est pénalement répréhensible. L’objectif du prévenu était d’avoir une tribune dans la presse et c’est détestable. La collectivité se doit de protéger ses agents : eux n’ont pas signé pour le jeu politicien et ne peuvent en être victimes”.

Pour son associé et ennemi à la protection, Me Marc Sztulman, “seule la relaxe peut être retenue”. “C’était l’emploi qui était visé, pas M. Gares. La liberté des oppositions, c’est ce qui fait une démocratie. Le débat, c’est le fonctionnement d’une assemblée délibérante comme depuis 1 789. Et si le quotidien L’Équipe s’est intéressé à cette affaire, ce n’est pas parce que M. Gares est un simple fonctionnaire comme il veut le faire entendre… Le maire lui a dit faites un procès, ça ne vous coûtera rien, vous aurez la protection fonctionnelle payée par les deniers publics, et on bâillonnera l’opposition”, a-t-il plaidé, en fin de session.

Le directeur de l’popularité, Marc Gambaraza, a mis en volontaire sa acceptation au 16 juillet, 14 heures. La procureure, Emilie Passier, n’a pas entamé de réquisitions. “Je m’en rapporte au tribunal”, a-t-elle expédient.

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