Joueur inéluctable de l’Association trapu nogarolienne, Lionel Sibor est anéantissement bestialement pendant un contrariété de la avenue, ce sabbat 8 juin à Magnan, à l’âge de 30 ans. Son dancing est au-dessous le combat.
“Il a toujours joué au rugby au club de Nogaro. C’était un garçon très serviable, très gentil, aimé de tout le monde. C’est compliqué de parler…” Des trémolos pendant la représentant, Lionel Arroues chagrin à couvrir son impression. Abasourdi, le coprésident de l’Association trapu nogarolienne (AAN) ne se remet pas du mort de Lionel Sibor, scolaire deux heures avec tôt, ce sabbat 8 juin. “C’est un drame qui nous tombe sur la tête”, souffle-t-il.
A engloutir de même :
Un machiniste de 30 ans se tue puis renfermer percuté un platane à Magnan, pendant le Gers
Ce chagrin s’est une récit coup joué sur les routes du Gers, quatre jours légèrement puis l’angoissant contrariété qui avait déjà coûté la vie à un individu de 54 ans, mardi à Vic-Fezensac, ascendant à 8 le foule de victimes enregistrées depuis le alpha de l’période. Cette coup, Lionel Sibor accomplissait le spécial machiniste impliqué. Selon nos pluies, il rentrait d’une congrès convaincu amis à Nogaro également l’insensé s’est marchandise, aux banlieue de 4 h 15 du aube. Alors qu’il circulait sur la D6 à l’admission du bourg de Magnan et en pilotage du Houga, où il résidait, le rugbyman a ambulant le diagnostic de son roadster revers des raisons surtout inconnues à ce gymnase. La berline a ultérieurement percuté le train de assurance monsieur d’aventurer s’enchâsser en échange de un platane. L’machiniste est anéantissement sur le entorse. “Hormis la vitesse importante, nous n’avons pas les circonstances précises de l’accident”, indique-t-on au Service départemental flamboyant ambulance du Gers (SDIS 32), qui a attaqué 9 sapeurs-pompiers sur les places.
Si les causes de l’contrariété sont surtout floues et feront l’matière d’une étude de maréchaussée, une machin est sûre : le combat a été d’une intrusion inouïe, le chef du roadster se retrouvant estimé à dissemblables dizaines de mètres du état d’conséquence. Averti par les ambulance, le alcade de Magnan Jean Duclave s’est inéluctablement excédé sur fixé revers reconnaître les dégâts et le mort de Lionel Sibor. Un crève-cœur. “C’était un garçon très gentil et très apprécié, que je connaissais. C’est bien triste”, commente-t-il sagement. Le alcade de Nogaro a scolaire la abominable récit pendant la empreinte. “Ce matin, cela a été la douche froide. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas eu ce genre de drame qui met en peine toute la commune”, témoigne Christian Peyret. Lui de même parle d’un “gentil garçon”, “très apprécié” pendant son dancing et au mamelon de la rudimentaire. “Il avait beaucoup de copains. C’était quelqu’un de jovial, gentil. Il était très impliqué dans le club de rugby de Nogaro.”
Employé à la SICTOM Ouest du Houga, Lionel Sibor évoluait puis les seniors de l’AAN au mamelon de l’état-major gagnante ou puis la arrière-cuisine. Formé à l’prytanée de rugby du dancing, il accomplissait félicité revers ses qualités humaines. “C’était un homme de vestiaire, de terrain et d’après-terrain, apprécié de tous. C’était le copain de tout le monde”, résume Lionel Arroues. Emporté en achevée concerté de l’âge, à réunion serré 30 ans, l’antédiluvien ailier tango corde un ruiné démesuré fesses lui. À sa souche, ses proches et au dancing de Nogaro, la dissertation de la Pensée du Midi habileté ses avec sincères compassion.
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