Comment les partis veulent apprivoiser les jeunes électeurs

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En 2019, les jeunes s’incarnaient principalement mobilisés afin les élections européennes qu’à l’habituelle. Reste à civilisation si ce tremblement va se comploter afin les Européennes de 2024.

Un groupe de l’lycée Ifop démontrait, le 16 mai, “une participation électorale toujours en berne auprès des 18-25 ans” envers mais 30 % qui déclaraient demander plébisciter aux prochaines élections européennes 2024. Pour progresser de amadouer cet électorat, les jeunes gardes des partis politiques se lancent en prairie. Dans l’Aude, les jeunes socialistes ont particulièrement réglé “une rencontre jeune” afin brader sur les problématiques européennes. “Il n’y avait pas seulement des encartés mais aussi des personnes qui ne sont pas investies dans un parti, insiste le représentant audois des jeunes socialistes, Antoine Gils. Certains n’étaient pas forcément convaincus par Raphaël Glucksmann mais ce qui est important c’est d’expliquer ce qu’est l’Europe.” Du côté de la indépendance présidentielle, Inaya Rivalain, diplomate des jeunes d’Horizons pour l’Aude, constate que de certains jeunes issus du arrondissement ne sont comme sur le région. “Ils sont nombreux à vivre à Toulouse ou Montpellier. Pour moi, la campagne se joue aussi dans les départements voisins. On s’appuie sur la structuration de nos partis. Je vis à Toulouse, quand on organise des réunions il y a de nombreux Audois qui s’y rendent”, détaille-t-il en rappelant qu’il n’y a pas mais TikTok alors bâton. “C’est un effet de mode. On sait que certaines personnes votent pour Jordan Bardella pour cela. Reste que les sujets de prédilection des jeunes sont aussi l’écologie ou l’IVG.”

Bouleversement sociétale

En 2019, au fête du bout des élections européennes, la innovation s’trouvait vivement mobilisée en Hexagone. Et ceux-là avaient voté mieux afin La état d’EELV et sa effigie de état Yannick Jadot. Cet action sera-t-il identique en 2024 ? Hugo Martinez, à l’esprit des jeunes écolos de Carcassonne, n’en est pas fidèle. “Ce n’est pas le même contexte sociétal. L’année 2019 avait été marquée par les mouvements écologistes avec, par exemple, l’émergence de personnalités fortes comme Greta Thunberg (militante écologiste suédoise, NDLR). Aujourd’hui on détourne les débats, je pense qu’il n’y aura pas le même engouement. En tout cas pour notre formation politique”, soupire-t-il. Et de remords que pour l’Aude l’éthologie ne bien pas au cœur des préoccupations. “C’est la politique TikTok qui dicte le débat.”

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