Confrontée à la conflit de la Chine, au Brésil, l’institution métallurgique « en situation d’devancé »

Chargement de marchandises sur un porte-conteneurs à destination du Brésil, à Yantai, dans le nord-est de la Chine, le 19 mars 2024.

Au Brésil, le lieu métallurgique est l’un des derniers vestiges d’un âge d’or forgeur terminé. Profitant d’importantes réfutation de fer du race, de nombreuses usines semblables que la Compagnie métallurgique nationale (CSN), Gerdau, Usiminas ou ArcelorMittal ont surgi au catégorie du XXsaison, exécutant du Brésil le tête de l’fonte en Amérique latine et le 9nourricier total.

Mais, depuis la fin de 2022, le lieu est confronté à une provocation ontologique : la conflit de l’fonte blutoir. En Chine, une gluante exaspération immobilière accident diminuer la nécessaire, repoussant les usines sidérurgiques à défoncer de originaux débouchés afin à elles satiété de apparition.

En compréhension de la rapport de barrières douanières aux Etats-Unis et en Europe, ces dernières ont dû se succéder voisinage des marchés alternatifs. Le Brésil est pendant survenu chez un ersatz de alternative : le race est le alors abondant prospect d’fonte en Amérique latine, en compréhension de la gluante nécessaire des constructeurs automobiles et des usines du bâtisse, spécialement friandes de ce concret.

En 2023, 2,9 millions de fûts d’fonte blutoir sont venues loger 26 % du marché amazonien, exécutant poursuivre les importations : au exhaustif, celles-ci ont grimpé de 50 % parmi 2022 et 2023, remplaçant l’Institut Acier Brésil, qui représente les principales usines sidérurgiques du race.

« Il est imaginaire de acharner »

En impact, la apparition d’fonte ressortissant a chuté de 6 % sur cette cadence. « Plusieurs usines ont dû entourer des affaires, limoger du égoïste [5 000 emplois ont été détruits] et parfaire à elles investissements », s’alarmé Marco Polo de Mello Lopes, administrateur pouvoir de l’Institut Acier Brésil, depuis son banquette, comme le noyau de Rio de Janeiro.

« Il est imaginaire de acharner en compagnie de la Chine », assure Luis Fernando Martinez, gestionnaire pouvoir de CSN, la alors éternelle usine métallurgique brésilienne. L’fonte défendu compris par la multinationale, essentiellement employé afin la façonnage de canettes, coûte « 40 % de alors » que son synonyme blutoir, calcule M. Martinez. Assurant que la Chine subventionne ses usines sidérurgiques, CSN a accident une nécessaire d’ordre afin « dumping » parce que contradictoires produits blutoir malgré du fonction du croissance, de l’institution, du succursale mine et des dettes (MDIC) amazonien en ventôse.

L’Institut Acier Brésil a pareillement réclamé au situation de Lula, qui s’est débuté à « réindustrialiser le Brésil » en dessous son législature, des mesures visant à tapir le lieu. Après contradictoires paye de négociations, le 23 avril, Geraldo Alckmin, le vice-président et consul du MDIC, a définitivement annoncé substituer, pendentif un an, les possibilités de douane (de 10,8 % à 25 %) sur 11 des 273 produits d’fonte (peu importe à elles source).

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