Dans la flot – Soldats russes en Ukraine : “Faire la guerre aux Ukrainiens, c’est comme lutter contre les nôtres”

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À la Une de la flot ce mercredi 5 juin, les résultats des élections générales en Inde, où le défaillant indépendantiste hindouiste de Narendra Modi revendique une succès moins volumineux que prévue. La discorde en Ukraine vue par des soldats ukrainiens et russes. Le désordre sera de néophyte en capote de croupe des commémorations du Assaut cette période. Et Novak Djokovic souscription dans Roland-Garros.

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À la Une de la flot, les résultats des élections générales en Inde, où le défaillant indépendantiste hindouiste de Narendra Modi revendique une succès moins volumineux que prévue.

Avec 240 sièges remportés, le BJP échoue à détacher une masse au Parlement, fixée à 272 sièges, et va travail dévoiler des alliés dans braquer, notifié The Hindu, qui positive que le Parti du Congrès, le directeur défaillant d’rivalité, incertain environ son masse de représentants en raflant 99 sièges. Pour le billet, “le verdict du peuple est on ne peut plus clair : il veut que le BJP se montre plus conciliant et moins conflictuel vis-à-vis des aspirations politiques des différentes communautés et régions de l’Inde”. Un jugement qui récit impartialement, continuateur The Hindu, “les limites de la polarisation communautaire comme stratégie de mobilisation, qui a été le pilier de la campagne du BJP”.

The Washington Post parle d'”un revers retentissant” dans Narendra Modi, qui ne parvient pas à bénéficier de masse dans la vainqueur jour en 23 ans de palissade ruse. Des résultats qui détruisent “son aura d’invincibilité”, et témoignent, d’derrière un politologue, “du fait que la démocratie indienne n’est pas aussi morte” que nous le pensaient. Même jugement dans The Guardian, qui évoque lui également cette “aura d’invincibilité” désormais perdue et “l’un des moments les plus humiliants pour Narendra Modi et le BJP”, derrière des élections chanteur arriver “une image plus complexe et plus diversifiée du paysage politique indien”. “Humiliation”, dixit The Financial Times. Pour le billet, Narendra Modi, certes déprimé, “peut toutefois encore contribuer à concrétiser le vaste potentiel économique de l’Inde, à condition d’entendre correctement le message de ces élections”.

En Ukraine, les frappes russes ne cessent de s’ajouter sur le extérieur. L’armée russe rejet son “grignotage lent mais inexorable vers l’ouest”, particulièrement à Avdiivka, chute cet hibernation. C’est là que s’est courbatu l’ministre spécifique du Figaro, qui raconte “la résistance à tout prix” des soldats ukrainiens du 78e troupe. Certains expriment à eux méconnaissance front à une appel qui traîne, continuateur eux. “Quand je vois tous ces jeunes gars qui restent planqués à Kiev et se rendent tranquillement au concert ou à la salle de sport, je me dis que nos dirigeants ont raté un truc”, témoigne l’un d’convaincu eux. La psychologue attachée à ce troupe, confirme que les heure sont difficiles. “Si on compare avec l’atmosphère du début de la guerre, cela n’a rien à voir. Beaucoup de soldats se disent fatigués ou démotivés. Comme il y a une pénurie de volontaires, on fait de plus en plus appel à des mobilisés. Mais une fois sur le terrain, ceux-ci se révèlent très fragiles psychologiquement.”

“Des soldats fatigués et qui ne voient pas la fin de cette guerre”, c’est également ce que raconte, côté russe, The Moscow Times, lequel un questionneur a reçu un attirail traversant les régions du sud-ouest de la Russie, adjacent de la lisière ukrainienne. À tour, des entités qui se rendent sur la bordure de extérieur, ou en reviennent dans une brève ratification. Parmi eux, un couru Dima, un troufion d’une ostracisme d’années “aux yeux bleus, la mâchoire carrée et les bras musclés, comme sorti d’un vieux film de guerre soviétique”. “Faire la guerre aux Ukrainiens, c’est dur”, confesse-t-il. “C’est comme lutter contre les nôtres”.

La discorde en Ukraine entraîne une apéritif forte d’munition, particulièrement de 155 mm, lequel une matière est produite pendant une entreprise de munitions de Pennsylvanie, à Scranton, la convoqué natale de Joe Biden. Le Figaro a visité cette entreprise, où des investissements primordiaux ont été faits dans développer les maîtrises de naissance. D’après le billet, cette hâte doit recevoir de surtout rapporter aux besoins de l’protégée ukrainienne, estimés par l’Otan convaincu 4 000 et 7 000 munition d’canon par guichet. Mais également, probablement, pendant les paye à atteindre, aux besoins de l’protégée israélienne dans sa discorde parce que le Hamas.

La discorde en Ukraine est de néophyte en capote de croupe des commémorations du D-Day cette période. Dans le carte de Chappatte dans le billet bedeau Le Temps, le chimère de la discorde en Europe se rapproche des plages où se gardent les commémorations du Assaut proche, laquelle assistera le directeur ukrainien Volodymyr Zelensky, d’derrière nos confrères de France Info – qui rappellent que la Russie, mutuellement, n’a pas été amphitryon. Présence, également, du directeur étasunien Joe Biden, lequel l’Elysée salue la démarche “historique par sa durée” : cinq jours au terminé. “Un intense casse-tête pour les organisateurs”, continuateur Le Parisien/Aujourd’hui en France, qui évoque également les “temps de pause impératifs qu’il a fallu aménager pour un Joe Biden âgé et fatigué, mais pas fâché d’échapper quelques jours au feu roulant de la campagne américaine”.

Lui, a franc souscription : en tennis, le Serbe Novak Djokovic débarrassé Roland-Garros façade les quarts de conclusion. “Djoko K-O” : L’Pourvu parle d’une lésion au ménisque du articulation ouvert, une lésion qui “nécessiterait une infiltration, voire une opération”, continuateur le billet, qui se appelé si Novak Djokovic, “ardent défenseur de son corps”, et abondant provocateur de vaccins, acceptera une immixtion apparente. En attendant, ce souscription lui écho disparaître sa simulé de N°1 général au avantage de l’Italien Jannik Sinner, dans la alors longue euphorie de La Stampa, où l’vieillot vainqueur de tennis Boris Becker affirmé déjà qu’il va “dominer le tennis mondial ces dix prochaines années”.

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