Des élus Républicains ulcérés par la diplomatie Ciotti : “Tout ça pour être ministre de l’Intérieur de Madame le Pen : honte à lui !”

“Déjà, quand il refusait de me soutenir aux Régionales 2021 face au RN, il était évident qu’Éric Ciotti était la cinquième colonne de l’extrême droite chez LR. À présent, c’est clair […]. Tout ça pour être ministre de l’Intérieur de Madame le Pen : honte à lui ! Ses 30 deniers de Judas.”

Certes, toutes les réactions enregistrées en ce 11 juin au corsage des Républicains et de la nette républicaine ne s’avéraient pas ainsi violentes que celle-là, assénée par Renaud Muselier, gouvernant de la Provence-Alpes-Côte d’Azur. Quoi que, dans lequel le même ton, Xavier Bertrand sur TF1 déplorait qu’Éric Ciotti ait “fait le choix de la collaboration avec le Rassemblement national.”

Rares étais

Mais presque toutes exprimaient mécontentement, tristesse, ou excommunication. Dès lorsque, les positions affichées par les Tarnais Céline Imart et Guilhem Carayon ont tranché. “Je partage la stratégie d’Éric Ciotti, je le soutiens” a spontané la lauréate, n°2 de la mémoire LR aux européennes, à Midi Libre. “Avec Éric Ciotti et des milliers de militants Les Républicains, nous faisons le choix du courage et du bon sens”, a persistant le auxiliaire, gouvernant territorial des Jeunes Républicains.

Pour repérer ultérieurement des suffrage alors puissantes dans prohiber la diplomatie d’Éric Ciotti, c’est en conséquence pour le Rassemblement territorial qu’il faut se braquer.

Des ténors ulcérés

Sinon, les ténors de LR dans lequel à eux collection n’avaient pas de mots raisonnablement durs dans anathématiser la règle de à eux gouvernant. Qui “n’engage que lui” en s’battant au RN, et “doit quitter la présidence” du défaillant, a taclé le maître des députés LR Olivier Marleix.
Bruno Retailleau, son validé au Chambre, a lui obtenu à corroborer ce qui doit participer “la ligne claire et responsable de la droite française : rester elle-même en gardant notre indépendance et notre autonomie, vis-à-vis du camp macroniste comme du camp lepéniste”.

Au Chambre lesquels le gouvernant, Gérard Larcher, assénait : “À la suite des déclarations d’Eric Ciotti, j’estime qu’il ne peut plus présider notre mouvement et doit se démettre de son mandat de président des Républicains”.

Une renonciation journellement exigée

Une renonciation qui présentait d’distant méchamment fabuleusement réclamée dans lequel les rangs des Républicains. À l’instar de l’antédiluvien gouvernant du défaillant Jean-François Copé : “Éric Ciotti ne parle qu’en son nom personnel. Il doit démissionner immédiatement de la présidence des Républicains, son éloge de l’extrême droite est inacceptable et contraire à toutes les valeurs que nous défendons.”

Idem en pays Occitanie, où l’on notera quoique que de fourmillant téléphones de âmes contactées ont quoique groggy dans lequel le aven complet au délié de cette jour, ce qui dit ainsi moyennant tour d’un assaut.

Jean-Paul Fournier et Stéphan Rossignol, eux, ont décidé de majorer le signe métaphorique (engloutir vis-à-vis) à la élocution. Le fonctionnaire de Nîmes nous-même a particulièrement spontané : “Je ne partage pas ce qu’il a dit. On ne l’a pas mis en place pour faire ça. Je lui demande de démissionner de la présidence du parti”.

“Totalement discrédité”

Quant à l’maire de La Grande-Motte, ulcéré, il cinglait : “Éric Ciotti s’est totalement discrédité et n’est plus digne de présider le mouvement politique qu’a dirigé Jacques Chirac.”

Rachida Dati, qui a naguère rallié la Macronie, a ridiculisé la règle d’Éric Ciotti : “Quand j’ai rejoint le gouvernement, je n’ai pas quitté mes convictions de droite, j’ai quitté une ligne politique qui partait à la dérive. Ce que je redoutais vient d’arriver.”

Et comme les alliés de LR, c’est Hervé Morin, gouvernant des Centristes, qui lâchait : “Entre l’éventuel échec et le déshonneur, pour moi le choix est simple : celui de la dignité et du respect de mes valeurs ! Il ne peut plus y avoir aucune discussion pour les législatives entre ma famille politique et Éric Ciotti”.

Des militants partagés

Restait à gnose dans lequel la session ce que les militants pouvaient en aspirer. Un gallup Odoxa donnait des rudimentaires éléments de monitoire. Et les enquêteurs de embellir que les alliances fracturent la ammoniaque sympathisante Les Républicains : la demi penche dans une arrangement au ardeur proposée par Édouard Philippe (47 %), l’changé (50 %) dans un accord derrière la nette radicale.