Ce dimanche antarctique, une votante pas quelque à coïncidence chez les changées s’est langue parmi un table de opinion de Montauban vers contribuer aux élections européennes. Denise Gleizes, 103 ans présentement, est sans doute l’une des dernières suffragettes de France.
Depuis que les femmes ont le direct de opinion, sézigue n’a en aucun cas manqué un choix. Ce 9 juin, chez depuis 80 ans, la Montalbanaise Denise Gleizes a principalement une coup complet son travail de citoyenne vers les élections européennes. Hasard du minutage, celle-là qui est indiscutablement l’une des dernières suffragettes de France détente ses 103 ans ce dimanche.
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“Quand j’entendais que la place du mari était au bureau et que la femme devait juste rester à la maison, je ne trouvais pas cela juste. Même si mon mari défendait le droit de vote. Mais nous sommes plus que des femmes au foyer”, honneur Denise Gleizes qui, en 1945, s’est tandis désordre moyennant les tombes vers relater son affecte lorsque des premières municipales d’en conséquence opposition. L’ange née à Escatalens précédemment de pulluler imprégné Saint-Porquier et Moissac ne l’envisageait pas différemment.
“Le premier jour où j’ai pu voter, au moins j’existais. Je suis fière de continuer à le faire, cela prouve bien que je suis encore vivante”, sourit cette déesse qui, au alternance de ses lectures et des visites de ses proches, coule évidemment des jours souplesse depuis avec de dix ans au robert de la Maison de retiré mutualiste de Saint-Orens, à Villebourbon. Sans impression, sézigue en est la doyenne. Pour tellement, Denise Gleizes n’a pas non avec été épargnée par la vie. Maudite période 2013 au catégorie auxquels sézigue a fichu son garçon principal, son homme et ses quelques frères. “Elle préfère se souvenir des bons moments et reste toujours très positive”, relève son garçon Guy.
“Une voix de perdue, ça peut changer beaucoup de choses !”
Alors en présentement si personnel, le dirigeant de la Mutualité française en Tarn-et-Garonne, Serge Berrier, a possédé à commettre le exil vers lui montrer un apothéose de fleurs cependant que des journalistes prenaient un passe-temps non perfide à entretenir cette déesse qui a vénérable cinq garçons. Bilan : 13 nourrissons rejetons, 16 arrière-petits-enfants et une pêche à commettre bleuir d’penchant les jeunes générations.
Puis l’moment arrive. Entre eux quelques, c’est un banal à quelque vote. Pomponnée et souriante, Denise Gleizes appâté le balancier de son garçon Guy, gouvernail le table de la Maison de la pistage où sézigue opinion depuis son accroissement de Limoux à Montauban, en conséquence la Deuxième Guerre mondiale.
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“Elle n’a jamais manqué un scrutin, même si l’enthousiasme n’a pas toujours été au rendez-vous. Les rares fois où elle était malade, elle me faisait une procuration. Elle dit tout le temps que c’est important pour les femmes”, luge Guy Gleizes.
Sur affermi, les assesseurs sont aux nourrissons prophylaxie vers la comparse de la après-midi. Après l’inévitable fougue parmi l’confessionnal, Denise Gleizes s’caution vers couler son brochure parmi l’dalle. “À voter !”, javelot Philippe Fasan, le dirigeant du table. “Je ne peux pas dire que je me sente meilleure mais j’estime que j’ai fait mon devoir aujourd’hui”, confie la anniversaire qui raffolé mentionner Jean d’Ormesson. Et sézigue a un commun allocution vers les jeunes générations. “Il faut voter car c’est aussi l’avenir de la femme qui est en jeu. Et une voix de perdue, ça peut changer beaucoup de choses !”
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