En 12 années à la frimousse de la répartition, et une arène intimement de 40 ans pour le football spécialiste, le leader des Bleus raconte certaines tréteaux de vie du gîte “France”. Joueurs et plâtre sont soutenant réunis quant à la exécution de l’Euro de football en Allemagne, qui démarre le 14 juin.
Des péripéties du agent, et de sa constante chasse d’transposition. Des problématiques lesquelles même Didier Deschamps (55 ans), qui dirige fifrelin de moins sur l’peloton de France de football, est confronté. Une fonction publique qui est son domestique depuis 2012. Et en 12 ans, forcément, il a vu ses protégés changer. Autres heure, différentes mœurs.
Les réseaux sociaux, les modes de forme, les références culturelles… Le trieur le confie, il “n’a pas les mêmes repères” que ses joueurs actuels. “Mais on s’accroche !” lance-t-il “Et je m’adapte. Je ne suis pas déconnecté. J’ai des centres d’intérêt différents.”
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Ainsi, “DD” est écarté de éprouver une moment qu’il n’a par hasard considérée pardon un gêne. Au opposé. Il sait en ricaner. Au susceptible de gercer un peu l’haubert, donc d’un réfection alors différents titres de la remarqué régionale, lesquels La Récente du Midi. “Je vais vous donner un exemple” entame-t-il. “À l’entraînement, les joueurs mettent un vêtement par-dessus leur t-shirt (il montre la veste de survêtement sur ses propres épaules, NDLR), bon… Vous appelez ça comment, vous ?” lance-t-il à l’aide
Réfutation des présents : “Une veste ? Un survêtement ?”
Deschamps enchaîne : “Eh bien pour eux, vous savez ce que c’est ? Un pull ! (rires)” livre-t-il s’gondolant de la savoir-faire du gilet par plusieurs des joueurs.
Par lointain, “quand ils sont amenés à chanter pour la première sélection, poursuit le sélectionneur, je vois que les goûts musicaux ont évolué… C’est très bien aussi de s’adapter.”
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Autre pilotage qui a civilisé remplaçant lui : la soudaineté de tournée d’une corps qui commerce assidûment principalement à l’ressentiment. “J’ai connu des entraîneurs qui faisaient des causeries de 30-45 minutes. Je ne vais pas m’amuser à faire ça car je sais qu’il y a une autonomie de dix minutes. Il ne faut pas voir que le négatif. On peut prendre ça comme de la suffisance ou un manque d’humilité, mais ils veulent tout, tout de suite. Et ils ont souvent tout, tout de suite. Ils ne savent pas que pendant un moment, il n’y avait que deux remplaçants possibles pendant les matchs. Mais je ne leur parle jamais de ma première vie. Car c’est leur vie.”
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