Dissolution de l’Assemblée nationale : “défaite humiliante”, “pari fou”, “il prend l’Europe en otage”… La foule troisième anée Emmanuel Macron

l’constituant
La vaste conquête du RN aux élections européennes (31,36 %) conjuguée à la chute du complot présidentiel, avec l’proclamation de la impureté de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron sont fabuleusement commentées pendant nos voisins occidentaux. Petit fréquence d’détourné de la foule troisième.

Les résultats des élections européennes en France, où le RN de Jordan Bardella est fabuleusement atteint en grand, et l’proclamation de la impureté de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron entre la trace, ont trouvé un vaste information entre la foule troisième.

A engloutir en conséquence :
DIRECT. Elections européennes et impureté de l’Assemblée : “les citoyens ont besoin d’être entendus, ils vont l’être”, indique Yaël-Braun-Pivet

“Une nouvelle déconfiture” derrière la Libre Belgique, “une défaite humiliante” derrière le familier ibérique El Pais, propre “écrasante” derrière The Independent au Royaume-Uni… En France également pendant nos voisins étrangers, l’proclamation de nouvelles élections législatives voulues par le responsable de la Ville n’en finit alors de exécuter rebeller. Die Welt, outre-Rhin, enthousiasme même jusqu’à inventer un “tremblement de terre”.

De son côté, La Stampa se récit un peu alors rebutant relativement à la croisade procédé par le complot présidentiel donc de ces élections européennes (“tête de liste totalement inconsistante”), remarquable du prou “l’omniprésence médiatique du locataire de l’Elysée” eux-mêmes jours. “(Ce dernier) a littéralement occupé le petit écran et les unes des journaux avec, en plus, des rendez-vous internationaux, n’a servi à rien”.

Le responsable “joue le sort de l’Europe en France”

La Libre décrit Emmanuel Macron en “animal politique blessé” qui voudrait, en compagnie de cette impureté, dévoiler “qu’il rugit encore ?” Avec ce cassure de tentative, Die Welt évoque la hantise du contre-amiral de l’Etat, à triade ans du bizuth élection présidentiel, de ambitionner “affronter au quotidien les populistes du Rassemblement national dans une cohabitation de combat”. Et de manifester pendant que le RN n’est “pas à la hauteur” entre l’étude du contrôle.

Même son de carillon outre-Manche derrière The Times (Royaume-Uni) : “Macron fait peut-être le pari que le RN, en remportant les élections et en dirigeant le pays en temps de crise, verra sa popularité chuter avant 2027, lorsque la France devra choisir son nouveau président”.

President Macron has called snap parliamentary elections after Europe’s hard-right political parties, led by Marine Le Pen, were backed by millions of voters to radically reform the EU u2b07ufe0f https://t.co/INVVdkxBDe

— The Times and The Sunday Times (@thetimes) June 10, 2024

Un jeu hardi derrière Blick (Suisse), qui tance le adoption d’Emmanuel Macron et l’accuse de “jouer le sort de l’Europe en France”. Et d’accroître : “Le président français joue un coup démocratique difficilement contestable. Mais il prend l’Europe en otage.”

Le responsable tricolore amuse un cassure démocratique malaisément niable. Mais il prend l’Europe en répondant. Cette Europe que, honnêtement, il prétend contrarier quelque ceux-ci qui veulent la terrassert. https://t.co/vvjRh5ZiQs

— Blick | fr (@Blick_fr) June 9, 2024

De l’dissemblable côté des Pyrénées, ABC s’épouvantée des conséquences d’une contingent conquête du complot de Marine Le Pen aux législatives : “l’onde de choc aurait des répercussions imprévisibles : l’extrême droite française est hostile à l’euro, à l’OTAN et à la solidarité militaire avec l’Ukraine”.

Comments are closed.