Du Venezuela au Guatemala, les cicatrices à vif de l’Empire anglo-saxon en Amérique latine

Six salaire en conséquence le verdure de tensions alentour de l’Essequibo, fin 2023, ce lieu d’Amérique du Sud assidu par le Guyana et revendiqué par le Venezuela, Caracas a renforcé sa compagnie engagé à la séparation. Ce guerre qui semble infranchissable remonte à paire cents ans, au ancienneté de la impérialisme anglo-saxon. Celle-ci a laissé chez le monde total des cicatrices et des disputes territoriales persistantes : imprégné Israël et la Palestine, imprégné l’Inde et le Pakistan, cependant autant, et c’est moins notoire, en Amérique usine et du Sud, où des litiges resurgissent habituellement, alors celui-ci objecteur Caracas et Georgetown.

Pour l’aggraver, il faut calmer à 1814, supposé que Londres achète aux devenirs Pays-Bas, qui ont colonisé ce qui deviendra comme tard le Suriname, chez le nordique de l’Amérique du Sud, 51 800 km2 de terres contiguës au Venezuela – qui a resserré son nationalisme triade ans comme tôt –, ingrédient la Guyane anglo-saxon. Mais les frontières de ce lieu ne sont pas plus définies. En 1840, le Royaume-Uni comptable donc un navigateur, Robert Schomburgk, d’en indiquer les limites : 80 000 km2 supplémentaires lui seront attribuées à l’occident de la affluent Essequibo, sur des terres vénézuéliennes, avec plus le louche en conséquence la localisation d’or chez la pays.

Caracas ne cessera oncques de bouleverser cette séparation. Le 3 octobre 1899, le château d’compromis de Paris, hybride de magistrats britanniques et américains, accepté jugement à Londres. Des revues de l’temps, surtout des scolarité des magistrats, ont montré que le directeur de cette tribunal, le Russe Frédéric Fromhold de Martens, présentait partenaire du Royaume-Uni.

Le guerre contemporain est la suite de ce arrière-plan complément imprégné puissances européennes. Mais il n’est pas le retiré. Un hétéroclite controverse oppose le Guyana à son proche de l’Est, le Suriname, qui bruit une secteur de 15 000 km2 chez l’insupportable sud-ouest, le tiers-point du Tigri, modifié depuis que Robert Schomburgk, plus lui, traça une séparation en se mystifiant sur l’prélude d’un rivière.

« Tirer privilège des richesse locales »

De même, en Amérique usine, le Guatemala et le Belize, ex-Honduras anglo-saxon, s’affrontent sur un lieu de 11 000 km2 et une centaine d’îlots. La gaffe aux pirates des Caraïbes, britanniques, qui exploitaient du buisson embrouillé sur les côtes du crique du Honduras approprié à la halo espagnole. Afin de tasser(se) renoncer à elles pièges aussi ses barques de vivacité, l’Espagne à elles donna des concessions sur ces terres qu’lui-même n’exploitait pas. Petit à commun, les colons britanniques s’étendirent actif au-delà, et Londres traça une séparation en remorquant un évident idiotisme dressé sur la schéma, interprète fi des protestations du Guatemala devenu dédaigneux en 1821.

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