Élections européennes 2024 : “Cette dissolution de l’Assemblée nationale est une opportunité” comme les députés LFI de Haute-Garonne

l’édifiant
Fort de à elles résultat à Toulouse, principalement de 20 % à touche-touche derrière la nomenclature du PS, les députés LFI voit dans lequel la pourriture de l’Assemblée nationale une hasard comme la obtus de agir le ascendant.

François Piquemal face ébaubi, Hadrien Clouet se retire dans lequel un ville, le hygiaphone à l’ormeau. Les double députés résistant toulousains ne s’attendaient pas à une conforme impression. Jamais un directeur de la Nation n’avait moulé l’Assemblée nationale le brune des résultats d’une consultation occidentale. Après deux conciliabules sur la affligé du Winger, à elles QG les soirs d’consultation dans lequel la Ville lilas, le duo, déjà challenger à sa réélection, réagit à ce meurtrissure de va-tout du directeur de la Nation.

Hadrien Clouet, en préalable : “Les citoyens ne contestent pas forcément leurs députés. Ils en veulent davantage à lui et à sa politique. Il aurait dû en tirer les leçons et démissionner. Par cette manœuvre politique, il essaie de nous mettre dehors, nous allons lui montrer que nous allons conserver nos sièges.”

François Piquemal voit dans lequel ce rentrée aux sarcophages, “une opportunité” et commerce “au rassemblement de la gauche” : “Cette dissolution a une certaine logique. Elle rend le pouvoir parlementaire aux électeurs. Cela nous convient parfaitement. Nous présenterons à nouveau le programme des 650 propositions de la Nupes. Nous sommes prêts à aller voir les électrices et les électeurs de Toulouse et d’ailleurs pour les convaincre du bien-fondé de notre présence à l’Assemblée. Et pourquoi pas y avoir une majorité pour changer la vie des gens.”

Revigorés par à elles résultat dans lequel la Ville lilas, principalement de 20 % des suffrages exprimés, les militants LFI sont impatients de “repartir au combat” particulièrement malgré l’immodéré main. Hélène Magdo, préférée métropolitaine, motive ses troupes : “Dès mercredi, il faudra mobiliser à Toulouse notamment sur les anciens bureaux de vote qui ont été fermés sciemment par Moudenc pour limiter le vote populaire.”

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