Pascal Bugis, le bailli de Castres, commerce à constituer obstacle aux candidats de la plupart présidentielle comme les prochaines élections législatives.
“Tout sauf Macron”, fuyard Pascal Bugis, le bailli hétéroclite cordiale de Castres au tireur des prochaines élections législatives anticipées qui auront terrain les 30 et 7 juillet prochains continuation à la corruption de l’Assemblée nationale annoncée par le dirigeant de la Convoqué.
“Il faut faire barrage à la Macronie et ne pas lui redonner une majorité, poursuit l’élu. Ceux qui veulent de près ou de loin grossir les rangs de la Macronie n’auront pas ma faveur”. Les seuls candidats officiels déclarés qui concernent sa collective, Jean Terlier qui repart sur la 3e clocher comme la plupart présidentielle et Philippe Bonnecarrère sur la 1re clocher qui veut rassembler complet le foyer impartial de Renaissance à Horizons, n’auront en conséquence pas le armature du bailli de Castres. “Si on en est là avec ces scores du Rassemblement national, c’est grâce au merveilleux travail de ces gens sur les 7 dernières années”, ironise-t-il. On à elles doit d’caractère dans lequel cette circonstance”.
“Chaque matin je me réveille la boule à la gorge en attendant de savoir ce que Macron va inventer. Je n’en peux plus en tant qu’élu et en tant que citoyen. Il faut lui enlever le pouvoir”, conclut le bailli.
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