Elections législatives 2024 : “Choisir son meilleur ennemi pour éviter le pire”… Entre RN et LFI, Dominique Strauss-Kahn a fable son accord

Très modéré pendant les médias depuis un effectif déjà, l’vénérable leader du Fonds Monétaire International Dominique Strauss-Kahn bulletin ce jeudi 24 juin une grande scène pendant Challenges, pendant lequel il trajet à prendre retenue au Rassemblement National.

“Ne commettons pas la même erreur que les sociodémocrates allemands en 1933 qui sous-estimaient les conséquences de l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite”, indique l’vénérable mandataire de l’Economie et des Finances. Et d’joindre : “pour éviter le pire, entre le RN et LFI, il faut choisir La France insoumise”.

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Accusé d’outrage sexuelle pendant l’cabinet du Sofitel en mai 2011, l’ex-favori socialiste à la présidentielle de 2012 évoque pourtant “un choix douloureux”. “Nous avons d’un côté une coalition hétéroclite comprenant de vrais démocrates et de vrais totalitaires, des individus respectables et d’autres détestables. Avec en prime pour ces derniers, une dose significative et révoltante d’antisémitisme que nous faisons semblant de découvrir alors qu’elle a toujours été présente à gauche en France et ailleurs”, relate-t-il à pic du Nouveau Front Populaire.

Le RN, “une coalition homogène de vrais totalitaires”

Mais à l’distinct réussite de l’tablier gouvernant (RN), il dénonce “une coalition homogène de vrais totalitaires, tous détestables, dont l’ADN est fondamentalement xénophobe et antisémite”.

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Dominique Strauss-Kahn trajet les Français à préférer, au originaire mirador ce dimanche, “parmi les candidats celui qui lui convient le mieux”. Tout en préconisant d’limoger le rival d’effroyable loyale au supplémentaire mirador, et ce même en cas de conflit verso un rival LFI. “Certains seront rebutés par les outrances insupportables, les positions indéfendables ou les déclarations méprisables de Jean-Luc Mélenchon. Mais il ne faudra pas hésiter non plus. Il faut savoir choisir son meilleur ennemi pour éviter le pire.”

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À ce écusson, il rappelle qu’en 2002, il a été le originaire à beugler à décider au prix de Jean-Marie Le Pen et contre Jacques Chirac, puisque avoir même ce fut en “se bouchant le nez”.