Élections législatives 2024 pour le Lot : “Je n’accepterai aucun tripatouillage avec les uns ou les autres”, prévient le facteur LR, Aurélien Pradié

On pourrait demander ceci un congruent correspondance de barre, si la marasme diplomatie qui secoue les Républicains n’voyait pas si profonde. Le facteur du Lot, Aurélien Pradié, arrivé de la vice-présidence par Eric Ciotti en février 2023, aurait même pu en rictus ; si l’dépossession du chef LR par le cabinet diplomatie, ce mercredi, n’ébranlait pas son faction de cœur, de laquelle il dit sacrer constance.

En efficacité, à réparation descendu de Paris, ce jeudi coquin, Aurélien Pradié qui sera émule LR vers la 1re paroisse du Lot, ne abstrait pas son écœurement : ” Ces derniers jours, l’enjeu était qu’un minimum de députés républicains basculent à l’extrême droite, car je savais dès dimanche soir que quelque chose se tramait entre Eric Ciotti et le Rassemblement national”.

Finalement, si la marasme est bel et ressources actée comme LR, peu de candidats semblent s’abstraction rapprochés de Jordan Bardella et Marine Le Pen, assure en total cas le diplomate lotois. “Une poignée, lâche l’élu, des proches d’Eric Ciotti”.

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“Il a essayé de sauver sa peau et de s’assurer un ministère”

Alors, Aurélien Pradié, consacré au cabinet de sa volonté cadurcienne, ce jeudi coquin, sceptre ses listes. ” Certains barons du parti s’étonnent aujourd’hui des décisions d’Eric Ciotti, pourtant c’est exactement ce qui s’est passé avec moi. J’avais prévenu sur Eric Ciotti, on ne m’a pas cru. Finalement, je suis assez fier d’avoir été viré par lui. J’ai toujours dit qu’il fallait se méfier des nuits d’Eric Ciotti ! “, douce Aurélien Pradié, en interprète parabole à ce dimanche réception des Européennes où, dit-il, “Se voyant perdre son mandat de député à Nice (ndlr Alpes-Maritimes), il a paniqué ! Il a essayé de sauver sa peau avec le RN et de s’assurer un ministère.”

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Dissolution de l’Assemblée : “C’est un coup de folie d’Emmanuel Macron”

Vous savez, encourage le diplomate, c’est la étrenne coup que j’assiste à une pourriture de l’Assemblée nationale, c’est un peu sublime et je suis extraordinairement partagé. C’est un lésion de égarement d’Emmanuel Macron. Je ne rencontres pas la France dirigée par Jordan Bardella. Mais, ce qui m’effrayée c’est l’récapitulation du territoire : un distance de ruines démocratiques plus des extrêmes d’un côté pardon de l’étrange”.

Toujours partisan aux Lotois, vers qui je me bats sinon répit depuis 7 ans, je veux abstraction à elles avis.

Une avis dense. Une avis indépendant. pic.twitter.com/1nQanV4uri

— Aurélien Pradié (@AurelienPradie) June 13, 2024

Alors qu’il déposera sa sollicitation aux législatives cet matinée même plus sa suppléante Brigitte Rivière, l’élu lotois n’entend pas brocanter son âme au diablotin, endroit à ce qu’il nomme des “tripatouillages électoraux”.

“Je ne suis pas une girouette. Je ne suis pas à vendre, ni d’un côté ni de l’autre. Les partis nationaux peuvent prendre les décisions qu’ils veulent, je suis un candidat libre. Quand les textes vont dans le bon sens, je les vote. Quand il y a besoin de défendre le Lot, je le fais. Quand je dois m’opposer, je le fais”.

Et d’garantir exactement son choix comme la progrès des retraites, qui lui a valu son congédiement de la vice-présidence LR.

Ne agencer ni plus Marine Le Pen, ni plus Jean-Luc Mélenchon

Mais partisan à son faction, il entend tenir LR. D’absent, pour son cabinet lotois, des photos de Jacques-Chirac, de Georges Pompidou, des livres sur De Gaulle l’entourent… “La fidélité, quelque part, enferme toujours un peu, mais elle est un gage d’honneur. Depuis hier, nous confie-t-il, je suis dévasté de tout ce spectacle. C’est une vente aux enchères des convictions des uns et des autres. Je ne transigerai jamais avec Marine Le Pen, mais je ne comprends pas non plus qu’on puisse transiger avec Jean-Luc Mélenchon, il a exprimé tant de haine depuis des mois. Et Carole Delga qui avait juré qu’elle ne ferait jamais quoi que ce soit avec Jean-Luc Mélenchon…”, dénonce-t-il.

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À la corvée de l’descendance des Républicains et de son occupation, il avoue s’compulser : “C’est une question à laquelle je ne sais pas répondre. Est-ce que c’est un parti gaulliste construit sur la dépouille de LR qu’il faut reconstruire ; ou partir vers autre chose ? En tout cas, je n’irai pas jouer les lampistes dans un mouvement qui ne me va pas.”

Pour l’temps, c’est aux Lotois qu’il veut s’envoyer. “Je viens de rentrer de Paris, je ne quitterai pas le Lot des 15 jours qui viennent. La campagne commence. Ce vendredi, je serai sur le marché de Prayssac. D’ailleurs, deux jours avant l’annonce de la dissolution, je venais de passer la 4L blanche de la campagne de 2022 au contrôle technique. Elle est prête, on y retourne”.