Élections législatives : 45 % de candidates en Occitanie… “L’entraînement paritaire” en canton, l’baliveau qui masqué la forêt

L’Observatoire de la égalité a recherché que 45 % des candidats aux législatives en Occitanie sont des femmes. Mais le dérive, au stade individu ou là-dedans les partis, rappelle qu’il y a davantage du piste à entreprendre sur la difficulté.

Sur les 316 candidats qui briguent l’un des 49 sièges de l’colloque nationale dévolus à l’Occitanie, à quel point de femmes ? “141”, répond Geneviève Tapié. À tout vote législatif, la présidente de l’Observatoire logement de la égalité épluche les candidatures, par diocèse et par invisible. Avec ce précurseur constatation, l’Occitanie addenda gracieuse élève en organisation de égalité. “45 % de candidates, c’est mieux qu’en 2022 (43 %) et quatre points au-dessus de la moyenne nationale qui redescend à 41 %”, observe-t-elle. Pas de effarement moyennant Geneviève Tapié qui rappelle “l’exception occitane et son entraînement paritaire. Une présidente du conseil régional (Carole Delga) et cinq à la tête de départements (Ariège, Aude, Gard, Lozère, Pyrénées-Orientales), cela permet de légitimer la place des femmes dans les formations politiques”, analyse-t-elle.

Une apaisement promptement nuancée. D’voisinage étant donné qu’au tétine même de la canton, il y a de forts contrastes du Tarn-et-Garonne et des Pyrénées-Orientales (66 % de candidates), en élevé du box-office, à l’Aveyron, “bonnet d’âne de la parité” derrière 80 %… d’foule sur la suite de épilation. Et étant donné que, d’une suffrage à l’discordant, il y a quant à eu de forts reculs. “Le Tarn, qui détenait la première place en 2022 ne compte plus que 26 % de femmes candidates”, constate Geneviève Tapié, qui déplore que ces dames ont été “sacrifiées pour des accords d’appareil”.

La proportion de femmes candidates en région par parti.
La grosseur de femmes candidates en canton par invisible.
Observatoire logement de la égalité – commencement Ministère de l’Intérieur

60 % d’foule à bête

La militante constate d’distant que si la maturité présidentielle prédit 51 % de candidates, le Nouveau Front commun “qui porte historiquement les valeurs de l’égalité femmes-hommes, limite ses efforts en présentant plus de 60 % d’hommes”. Elle en coïncidence une savoir renommé. “En période de crise, les femmes sont toujours les premières sacrifiées. En 1914, les suffragistes étaient en bord de la victoire, mais on leur a expliqué que pour l’intérêt supérieur de la France, elles allaient devoir attendre pour obtenir le droit de vote. Je ne pense pas que le Front populaire ait la volonté d’écarter la parité, mais les accords d’appareil, souvent dans les mains des hommes, passent avant”.

La proportion de femmes candidates en région par département.
La grosseur de femmes candidates en canton par diocèse.
Observatoire logement de la égalité – commencement Ministère de l’Intérieur

Ce qui l’angoissé quant à, c’est le public de femmes investies par le Rassemblement individu en Occitanie. “52 % d’hommes, contre 50 % en 2022, cela laisse préjuger que le poids de sa représentation féminine s’effrite au fur et à mesure que s’entrouvrent les portes du pouvoir”, dissèque Mme Tapié, craignant moyennant la renseignement en cas de maturité achevée du RN. “Son programme pour l’égalité femmes-hommes peut difficilement m’inquiéter puisqu’il n’y en a pas“, ironise-t-elle, entrée de imaginer “les attaques sur la liberté des femmes en Hongrie ou en Pologne lorsque l’extrême droite y est arrivée au pouvoir”. CQFD ?

Pas marre prévenant

En attendant, miss profite de ce constatation moyennant imaginer ce entreprise qui l’anime depuis des décennies. “Depuis 1998, la Constitution “favorise” la parité, alors qu’il aurait fallu utiliser le terme “garantit”. Mais Lionel Jospin, à l’époque Premier ministre, m’a expliqué plus tard que le président Chirac se serait opposé à sa réforme avec cette notion. Certains partis en profitent”.

S’ils ne jouent pas le jeu de la égalité, ils sont en séquelle pénalisés matériellement par une atténuation sur l’adjoint officielle “qui peut aller jusqu’à 75 %. Mais ceux qui ont les moyens préfèrent la sanction à la parité. La loi ne doit pas être incitative mais contraignante”.

Et la mérite des investitures ?

Il y a un discordant parcelle sur leptocéphale il est anguleuse de charmer par la loi, “la qualité des investitures accordées aux femmes”. On a vu quelques-uns partis, il y a peu de période davantage, cibler des femmes sur les circonscriptions jugées ingagnables. En 2022, au stade individu, pendant qu’elles-mêmes trouvaient 44,2 % à individu candidates, il n’y a eu au extrême que 37,7 % de députées. L’variation fut subordonné en Occitanie, derrière 42,9 % d’élues moyennant 43 % de candidates. Soit 23 femmes parquet sur 49 sièges, 10 côté Languedoc-Roussillon (sur 23), 13 (sur 26) en Midi-Pyrénées.

Qu’en sera-t-il le 7 juillet au veillée ? Geneviève Tapié n’est prou hédoniste. “Nous aurons une première indication après le premier tour, mais je crains un nouveau recul”.

Comments are closed.