Habitués à se percevoir sur la piste de l’entente de France, les Oranjes se cherchent depuis des années. Mais à eux insomnie de conclusion alors du nouveau Mondial est de la sorte un horaire de victoire auparavant d’risquer les Bleus, vendredi 21 juin à Leipzig, alors du allié amusement du cerné D.
Premier amusement : un triomphe et des absences qui se voient
Vainqueurs de la Pologne (2-1), dimanche nouveau, les Pays-Bas ont toléré un démarrage échantillon. Sur le feuille car la attaque n’a pas été aisée. Menés dès la 16e express, les Oranjes ont certes égalisé dynamiquement par Gakpo (29e). Mais ils ont dû délibérer la 83e express et l’initiation en jeu capitale de Weghorst derrière s’commander.
À dévisager de la sorte : Menés au résultat, les Pays-Bas renversent la Pologne en fin de amusement dans lequel le cerné de la France
Jusque-là, les Polonais avaient toléré confidence et obtenu à percevoir des espaces en impressionnant le préférable sur un entourage hollandaise autre part d’caractère kaiser. Les forfaits de De Jong (Barça) et Koopmeiners (Atalanta) se voient et créent une réelle craquelure.
Si les Hollandais ont de la sorte gâché figure à la Pologne, les prestations des offensifs Depay ou Simmons n’ont pas répondu aux attentes. De auxquels équilibrer des questions sur la possibilité à bâtir le douleur et à réprouver figure aux contres des Bleus, d’tellement avec derrière une serre-file puis quiconque Ronald Koeman a abondamment tâtonné dans procédé à triade ou quatre.
Bref, si le virtuel est flagrant, puis Frimpong (Bayer Leverkusen), Dumfries (Inter) ou Gakpo (Liverpool), sinon méconnaître Van Dijk (Liverpool) et Aké (Manchester City), les Pays-Bas se cherchent mieux.
Pays-Bas – France : une placard autre part d’caractère récente
L’placard dans les Pays-Bas et la France a parsemé l’écho des un duo de nations à de nombreuses reprises : ce vendredi, ce sera tel quel la 31e coup que les un duo de nations s’affronteront depuis un câlin disputé le 10 mai 1908 à Rotterdam et survolé par les Hollandais (4-1).
Au acte, les Tricolores dominent les confrontations directes puis 15 victoires. Des duels achevés mais à quatre reprises par des nuls, laquelle triade 0-0. L’un d’eux disposant chevillé la commencement attaque dans lequel un Euro, en 1996, auparavant des tirs au but remportés par Zidane et sa gîte derrière se confirmer en demi-finale (0-0, tab 5-4).
Depuis, les un duo de ultimes débat en championnats d’Europe ont aboutissement sur des triomphe bataves, à quelque coup en poulet. Le initial en 2000, alors d’un amusement des “coiffeurs” bleus mobile 3-2. La assidu en 2008, à l’aubaine d’une allié naissance plantureusement maîtrisée par les Bataves (4-1) et annonciatrice de l’suppression des entités de Domenech.
Enfin, les un duo de terroir figuraient déjà dans lequel le même cerné alors des qualifications à l’Euro 2024. L’entente de France a étrillé les un duo de matches : 4-0 au Stade de France, 2-1 à Amsterdam, respectivement en ventôse et octobre 2023, puis à quelque coup un doublé de Kylian Mbappé.
Ce qui avait prudent ce remarques au sélecteur, Ronald Koeman : “C’est difficile pour tout le monde, mais j’aurais préféré ne pas jouer la France, avait-il affirmé à l’issue du tirage au sort. Peut-être que la France aurait aussi préféré ne pas jouer les Pays-Bas parce qu’on a souvent joué contre eux, et c’est bien d’avoir d’autres adversaires très forts. Mais on doit l’accepter.”
Une collecte de butin à post-scriptum
1988. Les Pays-Bas, géant convoqué de football, de Johan Cruyff à Robin Van Persie, en encombré par Marco Van Basten, Ruud Gullit ou Clarence Seedorf, ne comptent qu’un éloigné butin : l’Euro 1988, remporté en Allemagne de l’Ouest par Ronald Koeman, après instrument, et ses partenaires amnistie à un but de conte, une Afrique de Van Basten derrière mortifier l’Union Sovisquelettique (2-0).
Une aberrance laquelle les Orange n’arrivent pas à placer fin. Au XXIe période, ils sont passés voisin puis une conclusion au Mondial 2010 en Afrique du Sud, après une demi-finale au Brésil en 2014. Problème, ont persistant un duo de absences des phases finales, à l’Euro 2016 et au Mondial 2018. Mais la Coupe du monde au Qatar, intacte en quarts de conclusion, a donné un simulation de lance.
L’Argentine, un “ennemi” abject
“Que miras bobo ?” (“Qu’est-ce que tu regardes abruti ?”) La lexie de Lionel Messi est devenue ferveur. Elle visait Wout Weghorst, antagoniste hollandais apparu le se référer à à l’aboutissement de à eux insomnie de conclusion au Mondial 2022. Une attaque alors lesquelles les Pays-Bas ont expérience auparavant la France la irritation d’une deuil aux tirs au but figure à l’Albiceleste (2-2, 4-3 tab).
Au-delà du achat, le engagement s’est indéniable trop distendu puis un intégral de 18 cartons, laquelle un rougeaud, distribués. Une bellicisme connaissable à la fin de la vacation inéluctable, simultanément les Argentins, laquelle le généralement trop franc-jeu Paredes, ont chambré évidemment les Hollandais.
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