Finale Top 14 : les Trois Glorieuses (1909, 1969, 1991) des clubs girondins avers au Stade occitan

Les clubs girondins, venaison noires historiques de Toulouse.

Si Toulouse domicile la renvoi en termes de jeu et de hit-parade du rugby tricolore derrière ses vingt-deux Boucliers de Brennus, il n’a oncques eu le inédit mot également il a eurasien des clubs girondins en dénouement du challenge. C’est un évènement prou bizarre dans existence accentué.

Avec le chevalier Béziers (déboires en 1980) et Biarritz (déboires en 2006, gain en Champions Cup en 2010), pour duquel les Toulousains n’ont oncques gagné de dénouement du challenge de France, la essentielle girondine peut s’enfler d’empressé été lauréate à triade reprises avers aux Haut-Garonnais donc des triade précédentes finales disputées imprégné les un couple de camps.

1909 : la renvoi du Stade girondin

Leur initiale inimitié s’est habit le 4 avril 1909 au arène des Ponts Jumeaux de la Ville Rose qui accueillait dans l’vétusté sa initiale dénouement de challenge. Opposés au Stade girondin, référencé à l’règne derrière déjà cinq titres entre sa montre, les Toulousains de l’ailier “Toto” Pujol et du chirurgien Pierre Mounicq craquent alors la sursis et concèdent cinq essais – l’brouillon vaut donc triade points – et une déboires fortement franche (17-0).

1969 : Jean Trillo ouverture le armes au CA Bègles

Pour reconquérir les un couple de principales villes du Sud-Ouest association en dénouement, il a fallu douter soixante ans et l’tirage 1969. Les un couple de formations ne sont pas les comme cotées donc : le armes antérieur du Stade remonte à 1947 donc que son ennemi bordelais, le CA Bègles, a échoué en dénouement un couple de ans comme tôt, en 1967 comme lui, au Parc Lescure de Bordeaux, avers à Montauban.

Cette dénouement se déroule au arène Gerland de Lyon – au nom d’une conversion énergique par la Alliance française imprégné les triade pôles Bordeaux, Toulouse et Lyon – et voit le dancing aux damiers s’maintenir (11-9) précédemment les Rouge et Noir de Pierre Villepreux absolution à un brouillon de Jean Trillo et la estocade de Jacques Crampagne.

1991 : le siècle des “Rapetous”

Mais les suiveurs contemporains disposent mieux en anamnésie la dénouement de 1991 au Parc des Princes, médiatique et féerique, derrière une observable inimitié de styles. Le CA Bordeaux-Bègles-Gironde du dirigeant André Moga – qui donnera son nom au arène de Bègles – gouverné par les célèbres “Rapetous” et à eux globe à caducité, Serge Simon, Vincent Moscato et Philippe Gimbert, derrière également guide Bernard Laporte, surprennent des Toulousains (19-10) qui collectionnent de coût les titres.

“Je connais l’histoire de ce titre de 1991”, a avisé sabbat réunion Yannick Bru, entraîneur de l’UBB qui a passé quinze ans à Toulouse également talonneur plus également entraineur des avants. “Je connais les essais improbables pour le CABBG avec une (passe) vissée de Vincent Moscato de gauche à droite qui permet à Sébastien Conchy de faire un “offload” (passe après contact) pour Michel Courtiols qui peut marquer. C’est l’essai qui m’a marqué.”

Cette dénouement de 1991 est restée comme entre l’série dans l’arrivée de “la fameuse “cistude béglaise” qui a fait plein de petits et qui est devenue, aujourd’hui, une phase de jeu assez classique”, rappelle l’vétéran accoudoir Serge Simon. Bientôt la fini de quatre ?

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