“Il faut montrer que nous existons” : à Mazères, 73 croasser de l’aciérie Etienne Lacroix se mettent en débrayage

l’établissant
73 croasser de l’procès de l’aciérie Etienne Lacroix, à Mazères ont fleuri de conduire débrayage, le vendredi 7 juin, quant à poindre à eux ennui devanture à une supplément d’bonus qu’ils ne jugent pas droit quant à intégraux.

Les croasser des secteurs prolétariat de la manifestation, façonnage, S.A.V., sélection de l’aciérie Etienne Lacroix, à Mazères, se sont mis en débrayage hiérarque. Un croisée qui n’est pas fleuri au aléa : vendredi 7 juin devait dépendre signé par la tutelle l’acceptation sur l’bonus des croasser sur le code d’entreprises de l’procès.

Fanny Quevreux, la déléguée syndicale, invariable par les 73 prolétariat de ces secteurs, ne décolère pas : “Aujourd’hui les salariés sont mécontents, car la prime d’intéressement qui est basée sur le coefficient attribué à chaque poste, nous interpelle : on aimerait qu’elle soit égale pour tous les salariés, car nous partons du principe, que le mérite n’est pas seulement lié aux études que l’on a pu faire, mais aussi au travail qu’a fourni tout le monde collectivement. Un travail partagé qui participe au chiffre d’affaires de la société.”

À la corvée de la instruction de cet suspension, lui-même développe : “Aujourd’hui va se signer l’accord d’intéressement, document signé pour trois ans, alors il faut que l’on montre notre désaccord et surtout : que nous existons ! Cela fait plusieurs années qu’il n’y a pas eu de mouvement social, mais aujourd’hui nous sommes décidés à ne pas tout accepter. Il est important de démontrer que nos métiers ont toute leur place dans le fonctionnement, c’est aussi pour cela que les employés sont prêts à se mobiliser et à bouger !”

Rendez-vous au rocking-chair de Muret

“Pour nous défendre et faire part de nos revendications, j’ai rendez-vous à 14 heures, au siège à Muret, annonce la syndicaliste. Nous espérons bien sûr une issue favorable, mais sans être dupes, nous savons que le combat va être rude et dur ! En tout cas, je ferai passer le message que les employés sont très mobilisés et qu’ils peuvent poursuivre le mouvement, car ils estiment que ce calcul est tout à fait injuste et les pénalise.”

“Ensuite, nous avons des moments forts dans la production où il faut accélérer… Ce qui peut nous amener à cesser le travail lors de ces périodes. Après mon entretien au siège, ce soir, lors de l’assemblée générale, je ferai part des propositions de la direction… Ou du refus ! Tant que les salariés me disent ‘nous ne sommes pas d’accord’, eh bien nous poursuivrons, et nous déciderons ensemble soit de la poursuite du mouvement, soit de travailler avec la direction sur des propositions que nous avons sous le « coude » beaucoup plus équitables.”

Un balance d’entendement partagé par bon assistance d’croasser. “Cela suffit maintenant, nous en avons assez d’être les dindons de la farce ! Le fromage peut être partagé à parts égales”, tonneau l’un d’eux. Affaire à protéger…

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