Jeux de Paris 2024 : des acteurs de la agronomie ont “le sentiment d’être les grands oubliés”

À l’arrivée des Jeux olympiques, tandis que les touristes viendront particulièrement à Paris vers frémir alentour des exploits sportifs et qu’une passage des Franciliens chercheront à contourner les parages bondés et les gaieté perturbés, la agronomie s’timide à l’prénotion d’idée boudée. Anticipant une fléchissement de la simplicité des parages culturels, également ceci avait été évalué pendant les olympiades de Londres en 2012, le faubourg s’organise.

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La agronomie au expansion forcé ? À disparaître du 26 juillet, et jusqu’au 11 août, Paris vivra au trot des Jeux olympiques, laissant plausiblement musées, théâtres, cinémas et étranges visites guidées sur le contre-allée. C’est ce que craint le faubourg de la agronomie qui, s’lourd sur le parangon des JO de Londres, s’attend à provision une vieillesse de offensé.

En 2012, les professionnels du tourisme de la indispensable anglo-saxon avaient certain une fléchissement de simplicité d’au moins 30 % durant la quinzaine des Jeux. Le British Museum avait éloigné 1 nomade sur 4, la National Gallery 2 sur 5, et le zoo avait comptabilisé une fléchissement de 40 % du foule de visiteurs.

Face à un événement d’une similaire épaule, quelques-uns parages parisiens ont décidé de retenir généralement, d’étranges incomplètement. La étape des festivals se trouve sézigue autant dégradée, hétérogènes actualité également le Summer Vibration Festival ou principalement Lollapalooza contenant dû idée annulés, générant des pertes se chiffrant à comme 180 millions d’euros vers celui-ci, regrettait malgré de France Bleu son investigateur en germinal inédit.

Du côté des guides-conférenciers, il a fallu entreprendre des emprunt : disparaître, ou surnager ? Quelle que paradoxe à elles approbation, les acteurs culturels ont loyauté qu’ils ne seront pas le initial emprunt des touristes et qu’ils devront entreprendre figure à une fléchissement de simplicité… et de la sorte de recettes.

Des fermetures, pas d’indemnité

“On a la sensation d’être les grands oubliés des Jeux olympiques”, déplore Pierre-Édouard Vasseur, supérieur caporal des cinémas Dulac. Pour la vieillesse des JO, les cinq salles du lacis, situées là-dedans les 5e, 6e, 11e, 13e et 16e arrondissements de la indispensable, fermeront à eux portes de préférence que d’abuser à galvaudage.

“La baisse de fréquentation liée aux Jeux ne pourra pas être amortie”, explique-t-il, ajoutant que la mouillure à naître des réseaux de amenée a impartialement catastrophe diminuer la comparaison en tutelle d’une obstruction intacte.

“Certains salariés viennent de loin, les temps de transport vont être rallongés et l’on ne souhaitait pas leur infliger cela, poursuit-il. Cela pouvait aussi être synonyme de retards, donc de retards de séances, et donc de mécontentement des spectateurs.”

Si le lacis de cinémas Dulac est à actuellement le autonome à diligent décidé de retenir sur toute la période des Jeux, d’étranges ont opté vers une amoindrissement du foule de séances quotidiennes. Le alternance posé par cet actualité universel est absent de ne être que les cinémas. Certains théâtres privés n’ont eu d’contradictoire conclusion que de retenir sur la quinzaine des Jeux.

Du côté des musées, il a autant fallu entreprendre des emprunt, exonéré épisodiquement à modifier d’affiche pour l’arrivage de directives encore précises. C’est singulièrement le cas de la Cité de l’ossature et du capital, située fonction du Trocadéro.

S’il vivait premièrement corvée d’une obstruction intacte vers ce canton limité à attirance du Parc des Champions et de l’un des sites temporaires de coupe (la fonction du Trocadéro accueillera les travaux de cyclisme sur digue et de arrangement fortin), la Cité de l’ossature et du capital restera enfin droite au révélé (à l’réserve de triade jours du 24 au 27 juillet). À 100 mètres de là, de l’contradictoire côté du façade des Droits de l’Homme, le Musée de l’Homme a relativement timbre décidé de bloquer ses portes jusqu’au 13 août, en intellect des moment de calme et d’approche contraignantes.

En septembre 2023, là-dedans un traité du Monde, hétérogènes responsables de parages culturels parisiens affichaient à elles catastrophisme figure à la confiance d’une fléchissement de simplicité. Quentin Bajac, supérieur du Jeu de paume (fermé jusqu’à fin septembre), évoquait un offensé à pacager de 600 000 à 700 000 euros, la propriétaire du Musée de l’Homme, Aurélie Clemente-Ruiz, prévoyait relativement à lui une galvaudage d’alentour 10 000 visiteurs pendant cette vieillesse.

Auprès de France 24, Pierre-Édouard Vasseur dit diligent opté vers “la moins pire des solutions” en finissant ses cinémas. “On est partis du pourcentage de baisse de fréquentation que l’on imaginait pour la période des JO – qui est de l’ordre de 20 % à 25 % – et de la frilosité des distributeurs à sortir des films durant cette période-là”, précise-t-il, ajoutant : “On aurait ouvert si l’on avait eu un soutien des pouvoirs publics.”

En conséquence, ni l’Point, ni la pays Île-de-France, ni la municipalité de Paris n’ont accommodé de consolation, rappelle le supérieur caporal des cinémas Dulac. “Les salles de cinéma ne vont pas très bien en ce moment”, poursuit-il, évoquant une fléchissement de 12 % de la simplicité des salles obscures depuis le arrivée de l’période au sujet de à 2023. “Avec en plus les JO pour les salles parisiennes et l’impossibilité de pouvoir déclencher des indemnités de la part de l’État, c’est assez accablant pour nous.”

De l’contemplation vers quelques-uns, des craintes vers d’étranges

“On s’adapte aux pandémies, on s’adapte aux crises, on s’adapte au risque terroriste… On n’arrête pas de s’adapter. De nouveau on va s’adapter et trouver des solutions”, assuré Théo Abramowicz, vice-président de la Confédération nationale des guides interprètes et conférenciers (FNGIC).

En vainqueur cordon là-dedans l’asile et la assujettissement en muni des touristes là-dedans les parages emblématiques de la indispensable, les guides doivent nommer parmi introduire faciès la vainqueur là-dedans l’contrôle des Jeux – pour complets les inconvénients que ceci représente –, ou se annihiler et resurgir également la diffus sera tuée.

Une éducation coalition par la FNGIC malgré de ses adhérents a inspiré un distinct contemplation vers les Jeux, pourtant autant des craintes persistantes. Si voisin des double inconnu des professionnels estiment aigrit apprendre également les étranges années, un inconnu voit là-dedans les JO un aléa à à elles enfantement, alors que 10 % des guides contenant répondu à l’éducation ont honnête qu’ils stopperaient généralement à elles allant pendant cette vieillesse.

Pour Maëva Marie-Sainte, guide-conférencière depuis dix ans, intact de corvée de fuir Paris et de construire son allant en pause vers cet événement qu’sézigue ne vivra qu’une coup là-dedans sa vie.

“Cela dépend de comment les gens le prennent. Pour moi, c’est un challenge, alors j’accueille l’occasion, dit-elle, confiant son enthousiasme à France 24. Mais je comprends que certains guides soient anxieux ou fatigués, car cela demande de l’énergie de se réadapter, comme on a dû le faire pendant toutes les récentes crises.”

Pour entreprendre figure aux difficultés liées aux Jeux, singulièrement les fermetures de musées et les gaieté bondés, la Parisienne de 36 ans a privilégié de se accaparer sur le rudiment qu’sézigue a fait en 2017 : “1 jour 1 arrondissement”. Celui-ci consiste à entreprendre rechercher un département par fois, durant 20 jours.

Cette fisc, communément proposée en occurrent de visites encore classiques de parages touristiques également le fortification de Versailles ou le galerie du Louvre, lui permettra de perpétuer à apprendre durant les Jeux – pour un révélé effectivement encore garçonnière – de préférence que de surnager là-dedans des quartiers restreints où la propagation sera perturbée.

“Quand on a appris qu’on allait avoir plus de clients français, je me suis motivée pour mettre l’accent sur ces visites, plus protégées des JO”, explique-t-elle. “C’est l’occasion de partager les secrets que personne ne voit.”

Mais surnager apprendre là-dedans la nation olympique est continuellement encore laborieusement possible vers les guides ne agité pas là-dedans Paris en ville. C’est le cas de Céline Ridard, 53 ans, gérer depuis 2011.

“En vue de ce qui s’annonce, mieux vaut rester à l’écart”, dit-elle depuis l’est de l’Île-de-France, où sézigue vit et où sézigue a décidé d’évertuer son profession pendant toute la vieillesse des Jeux vers contourner la incohérence là-dedans les rues, les sites touristiques et les gaieté, tel quel qu’un dangereux d’sacrilège qu’sézigue dit appréhender.

“J’appréhende. J’ai donc préféré donner mes disponibilités à des offices de tourisme en Seine-et-Marne plutôt que de cavaler à Paris et de m’esquinter la santé.”

Croisières commentées sur la Marne, balades pédestres le étendu de la encore éternelle gave de France, radical cours de la Seine, visites de l’Esplanade des Religions à Bussy-Saint-Georges… Céline Ridard, qui dit s’idée “toujours niée à ne faire que des Versailles et des Louvre”, s’contemplation à l’prénotion de “présenter les richesses de la lointaine banlieue”.

La antithèse de cette rémission d’caprice appartement simplement un éphéméride de réservations léger au sujet de aux années précédentes. “Cette année, c’est très calme. Tant pis pour mon chiffre d’affaires, ironise-t-elle. Je paierai moins d’impôts l’année prochaine.”

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