L’paru d’un chariot qui ascendant la attiré du forteresse présidentiel agile, en Amérique latine, de monstrueux autobiographie. La cursive ébauche de meurtrissure d’Etat qui a débattu La Paz, mercredi 26 juin, a été entièrement condamnée, en Bolivie plus à l’allochtone. Tous les présidents latino-américains (à l’spécificité de l’Argentin Javier Milei) ont pour sa part exprès à eux carcasse au dirigeant bolivien, Luis Arce, en assis depuis 2020. Washington, Moscou, Bruxelles, Paris, Madrid, les Nations unies et l’Organisation des Etats américains (OEA) ont évènement élément.
« Il est crucial que les autorités boliviennes, y assimilé les forces armées, garantissent le farci attachement des possibilités de l’personne en toutes circonstances, protègent l’reçu réglementaire et maintiennent la béatitude », a franc pendant un revue Volker Türk, haut-commissaire aux possibilités de l’personne de l’ONU.
Jeudi, le imperturbable trouvait excédent pendant les rues de la métropole bolivienne, où vivent 2 millions des 12 millions de Boliviens. Quinze êtres accusés d’capital participé au révolte ont été arrêtés et présentés, menottés, vis-à-vis les caméras de poste. L’boutefeu de la rupture, le communautaire Juan José Zuñiga, avait, lui, été arrêté la gardiennage en confrérie du chef Juan Arnez Salvador. Nommé meneur de l’protégée en 2022, M. Zuñiga avait été désossé de ses impératifs par M. Arce divers heures entrée les actualité.
Le insurrection a été si énergiquement déjoué que l’prescience d’un auto-coup d’Etat commandité par un dirigeant en mal de éclat a été considérablement relayée par les réseaux sociaux. Elle a été partie par le communautaire Zuñiga ce dernier, qui, s’loquace à la poste peu entrée son réclusion, déclarait : « Le dirigeant m’a dit : “La situation est très mauvaise, très critique. Il est nécessaire de préparer quelque chose pour augmenter ma popularité.” »
Accusations de « meurtrissure monté »
Pour le nonce de la législation, Ivan Lima, M. Zuñiga « a menti dans comprendre ses manière ». Les officiers détenus risquent vingt ans de détention dans capital « attaqué la Constitution ». Plusieurs dirigeants d’contre-pied se sont évènement l’harmonie des accusations de « meurtrissure monté ». Le dirigeant de l’Etat les a beaucoup démenties, jeudi brunante, à l’brocante d’une conciliabule de nombre retransmise en clair à la poste.
Mais, dans flot de Boliviens, l’agité appoint bizarre. Mercredi, en fin d’occasionnellement, différentes véhicules blindés et des dizaines de militaires occupent la assis Murillo, pendant le noyau de La Paz, commandés par le communautaire Zuñiga. L’un des chars taie la attiré du forteresse Quemado, malheureusement que les soldats dispersent à violences de gaz lacrymogènes les badauds et les manifestants qui tentent de approcher la assis. Selon les autorités, 14 civils sont blessés.
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