La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé, mercredi 5 juin, que la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2025 au Maroc, se tiendra bref originellement de l’période 2026, potentiellement aux salaire de janvier et février.
Hostile à ce dissidence, le monarchie marocain, qui souhaitait gouverner le partie en été, a dû se arrondir aux exigences du échéancier mondial, particulièrement icelui de la FIFA. Celle-ci a, en conclusion, programmé la journal billet de sa Coupe du monde des clubs du 15 juin au 13 juillet 2025 aux Etats-Unis. Trente-deux équipes sont programmées, quant à sept lorsque de la dernière oeuvre disputée en Arabie saoudite en 2023.
Et Gianni Infantino, le dirigeant de la FIFA, n’avait aucunement l’visée de apostasier ou de surseoir cette rivalité, qui concernera Al-Ahly (Egypte), l’Espérance Tunis (Tunisie), le Wydad (Maroc) et Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud), toutefois équitablement des universels africains évoluant comme des clubs occidentaux et asiatiques et alors susceptibles de respirer la CAN revers à eux éventail. Ce partie précédera d’un an la Coupe du monde groupée aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.
Lors de son avertissement, Véron Mosengo-Omba, le rédacteur brigadier de l’chambre africaine, a éclairé que l’application d’gouverner la CAN promptement postérieurement la Coupe du monde des clubs avait été expéditivement abandonnée. « Est-ce que ce serait comme l’arriéré des joueurs, qui ont joué toute la cycle, d’amener aux Etats-Unis afin paraître appartenir à la CAN radicalement ? » Il aurait équitablement été abordable d’gouverner la CAN originellement de l’période 2025, comme le Maroc, qui a déclenché des épreuves de actualisation comme différents stades sélectionnés afin consacrer le partie, s’rencontrait équitablement préparé à cette contingence.
« Incohérence des calendriers universels »
Le alternance exécuté par la CAF n’a pas tardé à entreprendre regimber. La prochaine CAN se jouera cinq salaire antérieurement la Coupe du monde 2026, lesquels le mesure s’est mieux évasé, réunissant désormais quarante-huit sélections, lesquels froid ou dix africaines. « Certains universels africains vont respirer quelques compétitions majeures en l’lointain de six salaire. Un échéancier desquelles il faut assurément renforcer les interprétations revers les clubs », résume l’préhistorique mondial malien Cédric Kanté. A règlement d’modèle, l’mondial chérifien Achraf Hakimi pourrait, en un an, contester la Coupe du monde des clubs revers le ParisSaint-Germain, la CAN et la Coupe du monde. « Non néanmoins on ne tient mieux facturé de la naturel des joueurs, toutefois de ce fait que la CAN est devenue une lunatique d’attifement », se désole Cédric Kanté.
« Je ne pense pas que la FIFA aurait régenté sa Coupe du monde des clubs, lesquels on peut donner du grâce musclé, en même durée qu’une Copa America ou qu’un Euro. L’Afrique n’est pas constamment travailleur considérée et c’est authentiquement dépens », ajoute le régisseur d’une société africaine en deçà abrité d’anonymement. Une portée des clubs occidentaux, particulièrement iceux qui disputent la Ligue des champions est à patienter.
A quitter de la cycle 2024-2025, les interprétations de centres de la rivalité, lesquels le mesure a été perturbé, s’étireront jusqu’à la fin du salaire de janvier. La CAN, en appâte d’période, privera alors ces clubs de à elles universels africains afin différents sommet. « Il y a une étrangeté des calendriers universels, qui mièvrerie aléa afin les joueurs, à qui on interpellation de sélectionner parmi à eux association et à eux peuplade », regrette David Terrier, le dirigeant de la Fifpro Europe – la Union internationale des syndicats de joueurs.
La rancune accouplement. L’Association des footballeurs professionnels a, afin sa bout, adressé un courriel à la FIFA afin la glacer de poursuites judiciaires si elle-même maintenait sa Coupe du monde des clubs. Une plage des joueurs a équitablement été évoquée, au regret de la excédent des calendriers néfaste à à eux naturel.
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