L’Agglo d’Alès drille la sécurisation des barrages de Sainte-Cécile et des Camboux entre les Cévennes

Les élus de l’village d’Alès se sont exprimés ce jeudi 27 juin alors l’expertise évidente du Commune.

Lors du conciliabule confédéral de ce jeudi 27 juin, l’délicate chapitre de la sécurisation des barrages de Sainte-Cécile-d’Andorge et des Camboux a sustenté les débats. Christophe Rivenq, responsable d’Alès Agglo, a laissé la articulation à Patrick Malavieille, mentor confédéral de La Grand-Combe, vice-président du Conseil départemental et fin versé du meuble.

Les un couple de exercices sont interminablement la argent du Commune. “On travaille sur ce dossier depuis 2002, depuis le lendemain des inondations. Ça fait 22 ans ! Et les services de l’État sont enfin venus discuter de la sécurisation des barrages avec une approche positive, fustige Patrick Malavieille. Le Département poursuit son travail. Il est regrettable que les services de l’État nous mettent des bâtons dans les roues.” Et de regretter les injonctions autres pénétré assurance des populations et positions environnementalistes, leurre indéfrisable entre la pari en œuvre des standards administratives.

Un ardu “en passe de devenir célèbre”

Christophe Rivenq l’avoue : “Avec Max Roustan, on a parfois eu peur lors des épisodes cévenols. On surveillait de près Vigicrues.” Et de représenter : “En cas de rupture du barrage, on aurait 45 minutes avant l’arrivée de la vague pour évacuer plusieurs milliers d’Alésiens. L’objectif zéro mort de la préfecture est utopique. Pour que le barrage cède, cela veut dire que le Gardon est plein, que les rues d’Alès sont inondées, comment évacuer de nuit les personnes âgées, avec quels moyens ? La seule solution est d’enfin lancer les travaux pour sécuriser le barrage.”

“Notre complexe hydraulique composé des deux ouvrages est en passe de devenir célèbre, parvient à plaisanter Patrick Malavieille. La commission internationale des grands barrages qui se réunit cette année en Chine va évoquer notre site. Le type de travaux de sécurisation envisagé, avec un déversoir central, ça n’a encore jamais été réalisé en France. Le début des travaux est envisagé en 2025, pour un coût estimé à plus de 30 M€. On espère donc un coup de pouce de l’État pour aider à financer tout ça. Le Département ne peut supporter seul des dépenses aussi importantes.”

Les conseillers communautaires d’Alès Agglo ont émis un placard amical relativement à la sécurisation des barrages.

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