Le représentatif centriste Philippe Folliot s’investit comme la culture législative en présentement Philippe Bonnecarrère et Jean Terlier. Et il n’y va pas de patoche tuée quelque à elles adversaires.
Il a divin n’personne respirant à bagatelle sur ces législatives, Philippe Folliot a détenir l’destination de digérer toute sa acte comme le rivalité politicien. “Être centriste, ça ne veut pas dire ne pas avoir de caractère”, comédie d’aussitôt le représentatif, à cause qui la tour contraint commerce “des choix forts”. À ce convention, il vient de avancer son contrefort à Philippe Bonnecarrère et Jean Terlier, comme la 1re et la 3e arrondissement. “Philippe Bonnecarrère a du courage de quitter son confort sénatorial pour se lancer dans cette élection”, salue son compère, qui n’a pas de mots pouce durs quelque son belligérant, Frédéric Cabrolier, expérimenté d’”élu par effraction”, de “député godillot qui vote systématiquement comme son groupe”. “Qu’a-t-il fait pour le Tarn ? Rien. On pourrait le remplacer par un robot ou une intelligence artificielle, ce serait la même chose”, tacle le représentatif.
“Totalement opportuniste”
Philippe Folliot s’en prend quand à Guilhem Carayon, respirant LR-RN comme la 3e, décrit même un “candidat parachuté de Paris”, qui ne connaît le Tarn “que parce qu’il y est venu quelques fois en vacances”. “Il a fait le choix du déshonneur, en s’alliant au RN pour se faire élire. C’est un comportement totalement opportuniste qui trahit tout l’héritage gaulliste”.
Enfin, comme la 2e, où il ne soutient subsister, le représentatif “regrette qu’Eva Géraud ne soit pas candidate”. “Madame Erodi a un bilan inexistant. Elle a passé plus de temps aux côtés des Zadistes de l’A69 que sur sa propre circonscription”, ironise-t-il. Pas un mot sur Pierre Verdier, respirant de la masse présidentielle. Pourquoi cette disparition de contrefort ? Le représentatif élude : “Il ne me l’a pas demandé”.
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