Le échevin de Villeneuve-sur-Lot Guillaume Lepers se hallebarde parmi la rencontre des législatives anticipées de ce salaire de juin 2024. L’créature efficace de la déclarée en défilé du Lot veut abandonner une différent entremise aux électeurs tentés par Jérôme Cahuzac et le Rassemblement ressortissant, la indépendance présidentielle pourrait détenir lui remettre le prairie éclairé.
Il est passé par intégraux les récapitulations depuis dimanche soirée. “Pas mon combat” puisque la vice a été actée par le monarque Macron ; comme le côté “sacrificiel”, poussé par les cadres locaux des Républicains ; exclusivement donc “la colère”, puisque le monarque de sa extraction politicien proclamation un accompagnement bruissement l’outré déclarée. Guillaume Lepers s’est document des nœuds au intellection pour 72 heures. “Beaucoup consulté” impartialement, vers une volonté qui ne s’est confortée que mardi. Le mélodrame bravé par Eric Ciotti a été le incontestable, icelui de s’construire grâce à les “tambouilles politiciennes” et de politiques déconnectés du occasion. “Dans la tempête, il faut prendre ses responsabilités” câlinerie le échevin de Villeneuve-sur-Lot précocement d’parler notoirement sa postulation aux élections législatives du 30 juin.
A deviner donc :
Élections législatives 2024 en Lot-et-Garonne : Cahuzac, compétiteur “hors système”, voit un leader contrariété à bâbord
Ce sera aussi lui, qui au fil des années s’est imposé puis l’créature efficace de la déclarée en défilé du Lot. La flux naturelle de Jean-Louis Costes, lequel il a été magistrat de 2012 à 2017. Et sur cette haie, icelle d’une “droite populaire et ouverte à tous” qu’il dosé s’immatriculer, autre part “des négociations d’arrière-boutique”. La haie Pradié, puis il idolâtré à le certifier.
Pas de compétiteur de la indépendance présidentielle vis-à-vis de lui ?
“La logique aurait voulu que je me préserve, que je voie passer l’orage” avance-t-il. Mais ses “25 ans d’engagement” l’ont document gamberger. Épluchant son check-up à la élevé de la municipalité de Villeneuve, le jugement “d’une crise de représentativité” des territoires ruraux l’a pieux d’y tenter. L’affirme électorale vers ces législatives anticipées y est donc vers contre objet. “Je ne m’engage pas contre des gens, mais pour un projet” jure Guillaume Lepers. “Je veux une autre alternative pour le territoire”, frontispice surtout “aux extrêmes, aux gens du passé et aux alliances bizarroïdes”. À bon entendeur. Pour l’moment, le dilemme de la candidate suppléante n’est pas plus arrêté, il le sera “avant vendredi soir” – période contour vers le entrepôt des candidatures en circonscription. La dialectique voudrait qu’elle-même se trouve du côté du Fumélois.
“Je veux quelqu’un qui remonte le pouls du terrain”, douteux le compétiteur Lepers. Toutes ces intentions du compétiteur “étiqueté LR” pourraient détenir lui couvrir une insolente brandon opération. Jean Dionis a bulletin, alors d’une mélange ce mercredi, qu’il n’y aurait pas de compétiteur de la indépendance présidentielle parmi la 3e département “si Lepers y va et qu’il se détache de la ligne Ciotti”. L’ex-député LREM Damaisin, qui réalisait jusqu’ici en complète remarque, pourrait aussi enfiler son mirador.
Quid des business municipales en cas de sans-faute ? Car s’il est élu le soirée du 7 juillet, Guillaume Lepers devra absenter son rocking-chair de échevin et de monarque d’conglomérat. S’il salue “des équipes solides”, il élude essentiellement la chapitre. “90 % des projets sont dans les clous” martèle-t-il. À certain imputation, suppôt d’un reprise du empilement des blancs-seings, il aperçu l’concept de absenter son cabriolet de échevin précocement de le rattraper mieux tard. “Ça peut inquiéter les Villeneuvois, mais je fais ça pour eux” appuie-t-il. Encore un peu de angle sacrificatoire, exclusivement Guillaume Lepers est courageux à tromper les pronostics.
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