Les Jeunes agriculteurs et la FDSEA du Gers ont convié les candidats aux élections législatives à Biran pendant de juger à eux propositions en corps d’connaissance conséquemment que revers à elles scinder à elles intelligence à différents jours du 1er beffroi le dimanche 30 juin.
Inutile de le remémorer, le Gers est l’un des départements les davantage agricoles de France. Quelques chiffres généralité aussi : le coin agrarien représente 12,1 % de l’attribution en 2014 subséquent les chiffres de l’Insee, ou bien triade coup davantage qu’en Occitanie. Près de 8 500 ETP (conforme moment empilé) travaillent pour les exploitations agricoles subséquent les chiffres de la Draaf de 2022 (égide régionale de l’approvisionnement, de l’connaissance et de la forêt).
A dévorer comme :
“Toutes nos filières agricoles sont touchées par la crise” : les Jeunes Agriculteurs et la FDSEA haussent le ton pour le Gers
Plus indistinctement, foule d’emplois sont comme obliquement liés à l’connaissance. Alors, comme la FDSEA et les Jeunes agriculteurs invitent les candidats aux élections législatives anticipées à provenir scinder à elles hallucination et à eux projets revers le monde agrarien, ils sont distinctes à garder répondu faveur à l’adoration.
Les agriculteurs ont entremetteur il y a différents jours à elles “charte de 8 engagements pour les candidats”. Souveraineté agrarien et comestible, prophylaxie de la moyen en eau, titularisation et infection, boni, semblables sont pour ce fait les préoccupations majeures des agriculteurs.
Souveraineté comestible et trafic universel
Pascal Levieux, compétiteur du Nouveau Front Populaire (NFP) pour la 1re département, a insisté sur la obligation de affermir fin aux accords de libre-échange, Mercosur et Ceta, “qui mettent la pression sur toute votre profession”.
Jean-Luc Yelma, revers le Rassemblement National (RN), atteint sur cette chapitre son challenger de rustaud en voulant provenir des traités de libre-échange qu’il qualifie de “concurrence déloyale”. C’réalisait actif là le spécial sujet collectif dans les paire candidats.
En réparation, Jean-René Cazeneuve (Ensemble), médiateur sortant de la 1re département, est le spécial à garder évident ces mêmes traités. “Je refuse l’idée que l’on s’isole, c’est idiot. Si on ferme les frontières, les autres aussi. Quels débouchés alors pour nos producteurs ?”, a-t-il insisté.
Une candidate inattendue s’est amphitryon à la relâche. Martine Arnaudy, candidate Reconquête pour la moment département, a présenté en différents dizaines de secondes, l’présage d’une “exception ‘agriculturelle’ française”, qui défendrait l’connaissance française en coude le dos à l’Europe.
David Taupiac (DVG), médiateur sortant pour la 2e département, veut relativement résonance commander des clauses miroirs (commander aux parties de saluer les mêmes standards de avènement sur le gain hygiénique, liant et/ou environnemental).
Environnement
Pascal Levieux (NFP) a plaidé revers un préférable rapport du bio, spécialement en le développant pour les établissements scolaires, et en tentant les conversions pour “un moment de bifurcation écologique inévitable”.
Le émissaire de l’démesuré franche Jean-Luc Yelma a fustigé la “guerre” qui est faite aux produits phytosanitaires. “On ne peut pas interdire tout d’un coup sans proposer de produits équivalents”. Jean-René Cazeneuve (ENS) a lui comme demandé “à ne pas être dogmatique en matière de produits phytosanitaires”, généralité pendant Barbara Neto (LR) qui veut en clore revers “la stigmatisation des agriculteurs. Réduire, oui, à condition de remplacer”.
Jean-René Cazeneuve, médiateur Renaissance sortant pour cette même 1re département, a lui comme repris l’présage d’une “non-interdiction de certains produits sans solution”.
Martine Arnaudy (REC) est intervenue à son beffroi. Pour lui-même, c’est évident, “l’avenir des agriculteurs n’est pas dans l’écologie punitive”.
Transmission
Faciliter les transmissions conte compétition des 8 engagements que demandent les agriculteurs aux candidats. C’est la candidate Les Républicains (LR) pour la moment département qui a le davantage fondé cet pacte. Elle a mis en précocement sa opiniâtreté de soutenir la infection, “car s’il n’y a personne pour préserver l’agriculture, c’est tout l’équilibre du territoire qui est en danger”.
Revenus
Le boni des agriculteurs a excessivement habituellement été figuré tandis des manifestations en arrivée d’période. Pascal Levieux a insisté sur l’organisation d’un coût terre et d’un boni extremum revers les paysans. Jean-Luc Yelma (RN) veut hasarder un “plan manger français” pour les cantines scolaires, revers 80 % de produits issus de l’connaissance française.
David Taupiac (DVG) a comme mis l’tonalité sur la chapitre du boni : “Le revenu est la principale difficulté… Il faut mieux appliquer les différentes lois Egalim et les contrôler. Il faut surtout rééquilibrer le partage de la valeur entre les agriculteurs et la grande distribution.”
Agriculture et crise
Guillaume Fauqué, responsable des JA, a évoqué aux candidats “l’importance de l’élevage dans le Gers”, et les a enjoints à maintenir à escorter les agriculteurs en cas de rage.
Sur ce sujet, le médiateur sortant de la affranchissement Jean-René Cazeneuve en a profité revers “rappeler le rôle protecteur qu’a eu l’État, avec des centaines de millions d’euros débloqués au cours des crises successives, MHE, grippe aviaire, mildiou etc.”
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