Législatives 2024 pour le Gers : verso le impétrant RN Jean-Luc Yelma, “maintenant, c’est à notre tour”

l’crucial
En opération verso les législatives pour la 1re village du Gers, le impétrant du Rassemblement citoyen Jean-Luc Yelma et sa suppléante Léa Béraut disent commander rétorquer au “ras-le-bol” des citoyens gersois.

Dans la 1re village du Gers, le impétrant du Rassemblement citoyen aux législatives, Jean-Luc Yelma appréhende alors confidence ces élections. Ce jeudi 20 juin, c’est sur le marché auscitain, escorté de sa suppléante, Léa Béraut, qu’il mène sa opération contre des citoyens gersois. “Les gens sont prêts à suivre la décision qu’ils ont pris aux élections européennes, affirme le conseiller régional RN. Maintenant, c’est à notre tour.”

A deviner en conséquence :
Législatives 2024 pour le Gers : Jean-Luc Yelma et Alice Cendré repartent en opération verso le RN

“Avec cet échec électoral de la majorité aux Européennes, la dissolution était obligatoire mais elle était prématurée”, insiste exclusivement l’élu de Miavidité. De grouillant dossiers traités en licence ou contesté à l’Assemblée nationale sont à l’jugement. Dans la affranchissement des cas, les authentiques parlementaires seront contraints de reprendre d’une planche nette. “Tout part à la poubelle, c’est inadmissible pour les gens qui ont travaillé”, s’insurge Jean-Luc Yelma qui biseau de dépense du larme la contingent sécuritaire à l’entrée des JO.

Dénonçant équitablement le inventaire macroniste, le impétrant gersois souhaite adhérer les accordailles du Rassemblement citoyen.

Pouvoir d’commande, abri et exode au soft

Jean-Luc Yelma biseau un intelligence de “ras-le-bol”, répandu, que ce O.K. pour le Gers ou pour les départements voisins. “Ils veulent du concret, des mesures immédiates”, soutient-il. Dans un soft diachronique, le impétrant RN confirme la régularité du évaporé de commander “redonner du pouvoir d’achat aux citoyens” et d’appartenir à l’audition, au phase garçonnière, des habitants concernés par les problématiques agricoles.

Mesure spot du soft : la “réduction des taxes”. “Avec la TVA à taux réduit à 5,5 %, c’est clair : vous passez à la pompe, vous gagnez 20 €”, indique le Gersois évoquant des négociations à atteindre alors l’Europe sur les tarifs de l’condensation en cas de sans-faute.

Le endroit curatif est en conséquence incarné, sinon renvoyer pour le état les mesures à avaler : “Si on veut faire revenir des médecins, il faut un gros projet territorial, il faut leur proposer des solutions.”

Séance tractage, ce jeudi 20 juin, sur le marché auscitain.
Rassemblement tractage, ce jeudi 20 juin, sur le marché auscitain.
DDM – NEDIR DEBBICHE

Dans un gérance d’combinaison nationale et “d’urgence”, la abri et l’exode seraient en conséquence, sinon ébahissement, au foyer des préoccupations. Car verso Jean-Luc Yelma, “rien n’a été mis sur la table par le gouvernement Macron”. “La sécurité et l’immigration concernent aussi les Gersois. Le programme s’appuie notamment sur la mise en place des peines planchers et la suppression des allocations pour les familles de mineurs qui aujourd’hui ne les méritent pas”, ajoute Léa Béraut.

À médiocre résultat, le impétrant souhaiterait équitablement s’inciter sur l’infirmation de la brouillé des retraites… Là principalement, pas de état sur les alternatives à offrir. Mais “nous sommes prêts, nous ne décevrons pas, les gens en ont marre”, insiste le impétrant à la députation.

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