Législatives 2024 : “Si vous pensez que je ne dois pas être Premier ministre, je ne le serai pas” assure Jean-Luc Mélenchon

Le responsable de la France opposé s’est positif ce dimanche 16 juin 2024 comme l’divergence Dimanche en politicien sur France 3, en conséquence les polémiques suscitées par l’renvoi de cinq candidats contre les législatives.

“Si vous pensez que je ne dois pas être Premier ministre, je ne le serai pas”, a promis ce dimanche 16 juin sur France 3 le patron de rangée des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, précisant que “c’est aux partis politiques qui constituent la coalition” de bâbord de “prendre la bonne décision”.

“Les gens ont répété pendant des jours et des jours que j’étais clivant. On m’a accusé de tout et n’importe quoi, d’antisémitisme, de ceci, de cela […]. Je ne serai jamais le problème, je serai toujours du côté de la solution”, a affirmé Mélenchon.

Interrogé sur la latitude que François Ruffin accède à Matignon en cas de succès du Nouveau Front considéré, le responsable opposé a estimé que “c’est une réponse qui lui appartient entièrement”.

“Je l’ai vu dire ‘Je suis prêt'”, a-t-il complémentaire, complaisant auprès les mots méchamment durs de François Ruffin en conséquence la déguisement à l’portée des antiques compagnons de levée de Jean-Luc Mélenchon, Raquel Garrido, Alexis Corbière et Danielle Simonnet.

“Un gouvernement, ce n’est pas une bande de potes”

“Un gouvernement, ce n’est pas une bande de potes, ce n’est pas un arrangement entre courants. Il s’agit de pouvoir encaisser le choc de gouverner. C’est le pire des postes, Matignon”, a aussi dit Jean-Luc Mélenchon.

Il a mis en individu le respiration de la France mutine de s’aérer à des figures de la phalanstère affable, à l’instar de la gouvernante confédérale de la CGT Céline Verzeletti, candidate comme la village de Danielle Simonnet.

Interrogé sur le épaulement de l’vénérable administrateur de la Cité François Hollande au Nouveau Front considéré, et à sa postulation en Corrèze, Mélenchon s’est montré heureux.

“Tout renfort et bienvenu pour battre le Rassemblement national”

“Tout renfort est le bienvenu pour battre le Rassemblement national. Et moins il y a de gens à l’extérieur qui sont dans un rapport critique et évidemment toujours très personnalisé – je suis le paratonnerre général de tous les problèmes – tant mieux”, a-t-il dit.

“C’est la vie de la démocratie. Le PS choisit qui il veut. Pour ma part, j’applique la règle que je lui demande d’appliquer”, a-t-il poursuivi, ensuite que le PS a critiqué les acquiescement d’cérémonie de LFI. “Je jette la rancune à la rivière et j’espère qu’il (François Hollande) en fait autant. Et nous allons avoir des problèmes compliqués à régler. Mieux vaut le faire dans une ambiance où chacun met à contribution son intelligence plutôt que sa rancœur”, a-t-il aussi affirmé.

Son de beffroi parfaitement discordant contre le coordonnateur du évanoui Manuel Bompard, qui a jugé sur BFMTV “incongrue et absolument incohérente” la postulation de François Hollande.

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