Législatives : gants de bagarre, crucifix celtique… à Bordeaux, le quémandeur identitaire Yanis Iva promet de “donner une bonne droite à la gauche”

C’est une sollicitation comme le moins controversée. À Bordeaux (Gironde), Yanis Iva, partisan identitaire du groupe d’extrême-droite La Bastide Bordelaise, est quémandeur aux élections législatives sur la 2e village de la Gironde.

Sur sa fonction de foi, où il fondé alors des gants de bagarre et un spacieux fasciner, le restriction brave promet de “donner une bonne droite à la gauche”, quaker convoiter “engager la remigration”, “combattre les lobbys wokes et écolos”, ou aussi “arrêter de financer les délires progressistes”. Tout un indicateur que condamnent ses adversaires, du Nouveau Front Populaire (NFP) au Rassemblement citoyen.

A déchiffrer contre :
“Je voulais voir ce que ça faisait d’être parachuté” : un quémandeur LR saute chez le cavité comme “dénoncer le parachutage” de son rivale RN

Les tracts de Yanis Iva compilent “les éléments les plus haineux caractéristiques du discours de l’extrême droite identitaire : l’invitation à s’en prendre physiquement à ses adversaires politiques, les symboles néofascistes et suprémacistes blanc tel que la croix celtique et les slogans LGBTphobes”, dénonce chez un reçu Nicolas Thierry, envoyé sortant et quémandeur environnementaliste du NFP.

Selon France Bleu Gironde, Yanis Iva serait l’un des leaders de La Bastide bordelaise, groupe moulé en février 2023 comme sa augmentation d'”une idéologie xénophobe, appelant à la haine et à la violence”, suivant le envoyé de l’Intérieur Gérald Darmanin.

“Malheureusement, ces gens-là, ils existent”

“Eh bien oui, malheureusement, ces gens-là, ils existent, déplore auprès de nos confrères Guy Dupont, candidat Lutte Ouvrière sur la 2e circonscription de la Gironde. “On les voit un peu au aristocrate vasistas étant donné que jusqu’actuellement, ils vivaient chez l’imbroglio. On les accomplissait comme ils donnaient des sévices de poing, alors comme ils font certaines interventions chez des quartiers populaires comme les employés ou une pays immigrée. Là, ils osent se apparaître à des élections sur des idées fascisantes, sur des idées racistes, des idées nauséabondes”.

Même son de clarine côté Rassemblement citoyen : Flavie Fournier, candidate du RN chez cette village, assuré “ne pas connaître ce monsieur” et démiurge cette sollicitation “scandaleuse”. “Yanis Iva se met clairement en spectacle, c’est de la mise en scène. Il faut regarder son affiche de campagne avec ses gants de boxe, là on est sur une élection très sérieuse, c’est un tournant”, a-t-elle divulgué.