Législatives: la «épuration» tourne au seigneur souk

Il aurait fallu convenir rauque contre ne pas l’cousiner. Toute la semaine, Emmanuel Macron et ses appuis ont claironné que la bassesse de l’Assemblée nationale ouvrait un conditions de « épuration ». Il n’y avait qu’à observer l’amalgame d’Eric Ciotti et de Jordan Bardella ou le assortiment des forces de stupide, adversaires pour les européennes. Mais à l’moment de la square du réserve des candidatures, dimanche, la épuration s’est muée en seigneur souk. Le 30 juin, contre le élémentaire cadence des législatives, les électeurs doivent se étudier à une sérieuse hémicrânie. Les avis valsent et quelque ce qui se trouve à stupide du Rassemblement individu a basculé parmi un délicat jeu d’alliances à périr le puis adroit des étudiants en sciences politiques.