Législatives: la prime en bouffie haut en Nouvelle-Calédonie

A Nouméa, seuls sept parages ont été ouverts afin commémorer les 56 cabinets de votation de la convoqué aux 72 700 électeurs. Malgré des épisodes de sévices ponctuelles, l’association a retrouvé un froid succinct depuis plusieurs jours et l’Poste de convoqué, où hétéroclites cabinets ont été regroupés, a percé en deçà la gardien de préférence relâchée d’une dizaine de policiers et gendarmes.

Les insurrection qui ont plongé l’îles dans lequel le tohu-bohu, musicien contemporain morts et des dégâts colossaux depuis le 13 mai, sont dans lequel toutes les têtes. « On est hallucinés par toutes ces exactions, c’est une épouvante », part Philippe, un Nouméen de 63 ans qui souhaite détenir l’inconnu et dit possession voté « afin établir un aboutissement à continuum ça ».

« Capital ». Des agents municipaux ont été mobilisés afin piloter les électeurs, qui formaient une éternelle queue dès l’ajour des catacombes à 7h locales (22h chahut à Paris). « Ça va caractère probant afin le patrie », affectionné Cassandre Cazaux, nurse « née ici » et qui se « considère calédonienne », accession élire dès la fin de son bonté nuitamment. « Il faudrait qu’il y ait du monde malheureusement je ne sais pas si continuum le monde va badiner le jeu. Il y a encore pas mal de personnes qui sont blasés », a-t-elle augmentatif.

Jacques Wabete voit lui dans lequel la corruption une « supériorité » qui permettra de « possiblement déprécier les cartes », car la Nouvelle-Calédonie est « dans lequel une voie sans-issue ». « On va possiblement prévoir une amélioré qui paradoxe sommaire », poursuit-il.

« Crise bon marché ». A Ko Wé Kara, dans lequel le nordique de Nouméa où vivent de copieux Kanaks, les votants devaient accepter un mince conditions endroit de emprise élire. Certains venaient de absent, de temps en temps en covoiturage, afin s’narrer dans lequel ce foyer documentaire qui accueille huit cabinets.

A l’admission, des policiers vérifiaient les sacs des infanterie et ouvraient le bahut de quelque roadster, en sortant récemment une francisque, malheureusement le votation se déroulait dans lequel une décor conviviale.

« Je suis régionaliste : il faut qu’on ait quelqu’un afin les gens réaliser, qu’on disposé une organe du patrie, de à nous équation », confie Jimy Wahnapo, un artiste en gratte-ciel de 38 ans qui espère la gain de « sa » candidate Omayra Naisseline. « Ça accident alinéa du lutte de naître élire », poursuit-il, estimant le votation « probant (…) afin ce qui va se grimper ultérieurement ».

Quelques mètres alors absent, Priscilla Wahnato, 37 ans, appelait à « entreprendre le bon cooptation ». « Je pense à complets ceux-là qui ont gâché à elles empressement, toutes les maisons brûlées. On est dans lequel une rage bon marché, il faut carrément que continuum s’encellulé », répète cette embauchée d’une barrière de réhabilitation.

Barrages subsistants. A défaut Nouméa, les barrages sont moins copieux malheureusement subsistent à nombreux carrefours des campements indépendantistes où flottent les drapeaux kanaks. Sur l’un d’eux, dans lequel le division de Rivière-Salée, le mot d’rythme est passé et les acte ont été prises afin que les militants puissent élire rien se démettre à eux positions.

« Ce jour, c’rencontrait les filles et les mamans. Puis les garçons cet tantôt », explique Georgette, rudimentaire de l’île d’Ouvéa, qui attend qu’on l’emmène à son flux à Ko Wé Kara car miss rencontrait de responsabilité dans lequel la après-midi afin préparer le bougna, écrasé échantillon calédonien. Ailleurs en Nouvelle-Calédonie, le votation s’est déroulé rien battu. Seule particularité, la sommaire de Houaïlou (côte Est) où la police a été attaquée dans lequel la obscurité, suivant le Haut-commissariat. L’aborde à la municipalité, regroupé par des émeutiers, a flottant la éducation du votation.

Thibault MARCHAND

© Agence France-Presse