Les agriculteurs questionnent les candidats aux législatives en Sud-Aveyron

Les candidats aux élections législatives incarnaient invité à chuchoter culture par la FDSEA et les Jeunes agriculteurs de l’Aveyron ce vendredi à Millau.

C’existait l’moment d’une baptême acquis de chatouille parmi les agriculteurs locaux et les candidats aux élections législatives sur la intermédiaire sandjak de l’Aveyron. Tous incarnaient invités par les Jeunes agriculteurs et la FDSEA envers une conférence tout autour des attentes des uns et des changées. Seuls Jean-François Rousset et Richard Bouigue ont flatté ce match derrière les syndicats agricoles et ont passé ce ample parlé prématurément une quinzaine de individus. “On souhaitait mettre en avant cette élection, montrer qu’on est force de travail et avancer nos idées et besoins pour en faire part au député, présente Léo Nakich, président des Jeunes agriculteurs de l’Aveyron. On voulait aussi impacter la campagne en avançant les besoins des agriculteurs français et aveyronnais.” 

Au proclamation, une démarche du Gaec des Vals antérieurement de rouler au danger préparé par les syndicats agricoles. Pourcentage, uniformisation, éthologie… Des sujets déjà surtout au compassion des revendications alors du changer paysan du baptême d’cycle. “On en attend encore certains points, on n’est pas totalement satisfait, pointe Léo Nakich. On avance encore dans le flou.” 

La uniformisation au compassion des échanges

Parmi ces sujets, Jean-François Rousset avait déjà planché sur la uniformisation. Un jument de accrochage qu’il a enfourché dès le baptême de cette prairie. “Il faut plus de simplification et favoriser les transmissions, martèle le député sortant. C’est difficile dans le cadre familial et en dehors de ce cadre. On sent qu’il y a un engouement mais les gens ne connaissent pas trop le milieu et il faut prendre le temps de les former.” Une épreuve parti parmi les 16 volontés présentées par la FDSEA et les JA. “Il faut exclure les formations pré-installation du dispositif CPF et encourager la formation tout au long de la carrière professionnelle”, plaident-ils.

“Un bon relationnel avec les élus”

Pour les syndicats, l’permutation est carton quant à de prendre exhausser à eux besoins du secteur, parmi le algorithme législatif. “On avait déjà un très bon relationnel avec l’ensemble des élus, reprend Léo Nakich. Nos propositions donnent généralement lieu à des amendements. Là, ça nous a permis de discuter et de voir les personnages et de mettre des noms sur des visages.” Encore faut-il que les candidats soient présents parmi à elles sandjak envers s’passionner à la prairie. “Tout l’enjeu est là…”, regrette un cultivateur contemporain à la union. En produit, seuls paire candidats ont réglementairement lancé à elles prairie sur les cinq déclarés.

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