Le plan antivirus du Russe Kaspersky, une des références mondiales de la quiétude infographie, est désormais ébahi aux Bordereaux-Unis. Washington et d’divergentes province européens soupçonnent la ordre de associer – de gré ou de étudié – pile les autorités russes, ce qu’sézig nie.
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Washington a annoncé jeudi 20 juin l’excommunication du plan russe antivirus Kaspersky aux Bordereaux-Unis, reprochant à ce titanesque de la cybersécurité une ressemblance pile Moscou que l’affaire nie rudement.
“Kaspersky ne sera plus en mesure, entre autres activités, de vendre ses logiciels aux États-Unis ou de fournir des mises à jour aux logiciels déjà utilisés”, a recommandé le administration étasunien du Commerce pendant lequel un ticket. “L’interdiction s’applique également aux sociétés affiliées, filiales et sociétés mères de Kaspersky Lab”, est-il précisé. Kaspersky sera cependant notoire à présenter certaines activités jusqu’au 29 septembre, pendant de allouer aux clients le instant de imaginer une vraisemblance.
L’entreprise a prochainement offert pendant lequel un ticket une volonté “prise sur la base du climat géopolitique actuel et de craintes théoriques”, volonté qui, disciple sézig, “bénéficie à la cybercriminalité”.
Inquicorvées anciennes
La ordre se défend depuis des années de conformes soupçons. Karspersky “a démontré à de nombreuses reprises son indépendance de tout gouvernement” et les Bordereaux-Unis ont “ignoré ces preuves”, assène le tend, qui sincère que ses charges d’informations sur le monde de la cybersécurité ne sont pas touchés par cette mensuration.
L’entreprise, une des références mondiales de la quiétude infographie, envisage identiquement de agiter la volonté en législation.
La multinationale Kaspersky a des agences pendant lequel 31 province, et des clients pendant lequel alors de 200 province et territoires, détaille le administration du Commerce. Le tend impute des antivirus et divergentes produits et charges liés à la cybersécurité à alors 400 millions d’utilisateurs et 270 000 industries pendant lequel le monde.
Trois personnes liées à Kaspersky ont en contraint été ajoutées à une récapitulation noire de Washington, “pour leur coopération avec les autorités militaires et de renseignement russes à l’appui des objectifs du gouvernement russe en matière de cyberespionnage”.
Les industries et uniques qui continuent à exciper l’antivirus Kaspersky ne s’exposent pas à des sanctions américaines. Ils sont malheureusement avertis des risques liés à la cybersécurité, sincère le administration du Commerce.
“La Russie a montré à maintes reprises qu’elle avait la capacité et l’intention d’exploiter des entreprises russes, telles que Kaspersky Lab, pour collecter et exploiter des informations américaines sensibles”, a commenté la accrédité étasunienne du Commerce, Gina Raimondo, citée pendant lequel le ticket.
Cette efficacité “est vitale pour notre sécurité intérieure et protégera mieux les informations personnelles et la vie privée de nombreux Américains”, a de son côté spontané le accrédité de la Tranquillité civile, Alejandro Mayorkas.
Ce n’est pas la primaire jour que Washington prend des mesures visant Kaspersky. Le plan avait été ébahi d’empirisme au buste des bureaux fédérales en 2017. En germinal 2022, la Commission fédérale des communications des Bordereaux-Unis a complémentaire les produits, solutions et charges de quiétude fournis – ouvertement ou par la bande – par Kaspersky sur la “liste des équipements et services de communication qui constituent une menace pour la sécurité intérieure”.
Soupçons identiquement en Europe
Plusieurs province occidentaux ont comme explicite à elles défaitisme regard de ce titanesque de la cybersécurité. L’Allemagne avait présenté, divers semaines subséquemment l’intrusion russe de l’Ukraine, d’détourner d’exciper ses charges. L’Italie avait pendant lequel la enjambée large une éducation.
Fin 2023, le métier acadien avait décidé l’excommunication, quant à ses fonctionnaires, d’exciper des outils de Kaspersky sur à elles hygiaphone spécialiste.
Soupçonnée depuis des années par les province européens de associer – de gré ou de étudié – pile les autorités russes, l’affaire avait annoncé fin 2020 possession accompli le convention des éventualité de ses clients européens pendant lequel son attachement de éventualité en Suisse.
Avec AFP
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