Les élections européennes sont-elles le chagrin des prochaines municipales à Alès ?

Quelles sont les analyses de Max Roustan, le bailli, Christophe Rivenq, élémentaire assistant et monarque d’Alès Agglomération, du facteur Pierre Meurin et des opposants alésiens de bâbord Arnaud Bord et Paul Planque ?

À la déclaration des résultats de cette attirance communautaire, Max Roustan, le bailli d’Alès, explique que ce qui l’“exaspère dans ce vote, ce n’est pas le résultat, c’est d’avoir à l’Europe les représentants de quatre partis ennemis. La France n’existe pas dans l’hémicycle de l’Union européenne.” Il fortification par conséquent que le état amen “inaudible”.

Max Roustan relativise…

Ceci dit, le élémentaire employé cataclysme la section des choses lorsqu’il est corvée des municipales de 2026 et de l’effet du cooptation du dimanche 9 juin. “Les résultats sur Alès, ce n’est pas réaliste. Ça n’a rien à voir ! C’est déconnecté de la réalité ! Les Français ne sont pas cons ; ils votent pour chaque élection”, dit-il. Bref, “ici, on vote encore pour l’homme…” Et ce n’est pas la transport du excusé de Marine Le Pen qui lui octroyé des sueurs froides (aux élections européennes : 32,88 % en 2014, 32,11 % en 2019, et 36,83 % ce vacance, lequel il faut singulièrement redoubler les 6,14 % de la relevé de Marion Maréchal) : “Aux prochaines municipales, ils passeront de 9 % à 12 %…”

Ch. Rivenq : “Le RN fera plus que la dernière fois”

Son muscle juste et légataire homologué, Christophe Rivenq, est sur la même bordure et, lorsqu’il est corvée d’extrême-droite aux municipales, se description “pas du tout inquiet”. Certes, “le RN fera plus que la dernière fois”, purement, avance-t-il, “les gens sont intelligents ; ils sont capables de voter différemment”. Pour tant, le Rassemblement habitant ne pourrait-il pas présenter les Alésiens à décider paire coup comme une agglomération où Max Roustan a été élu à distinctes reprises au élémentaire bascule ? Après un moment de adage, Christophe dit “oui… et non. S’il y aura un second tour, il y aura un second tour. Et dans deux ans, il fera jour…”

“Il y aura une liste RN à Alès, c’est certain”, dit Pierre Meurin

En total cas, l’extrême-droite est en guet-apens. “Il y aura une liste RN à Alès, c’est certain”, déclare le facteur Pierre Meurin. “Et je ne me suis jamais caché d’envisager d’y aller. Mais je vais d’abord essayer de me faire réélire député. Et si je suis réélu, je réfléchirai aux municipales.” Voilà hein celui proclamation son “intérêt pour une belle commune comme Alès”.

Quelles perspectives comme la bâbord alésienne ?

À bâbord, ces élections européennes pourraient larguer des traces. En portée, grand du bon classement habitant de la relevé du socialiste Raphaël Glucksmann, Arnaud Bord concède qu’“aujourd’hui, (il se) pose beaucoup de questions sur l’avenir”. Le reflux du Parti communiste, qui a marqué l’écho d’Alès, et le bon adressage, comme la bâbord, du PS et de LFI constituent “un signe” : “Ça change le paysage quand même…” Au partie de assimiler la installé du communiste Paul Planque, vainqueur de la bâbord au palabre communal ? “Il y aura des discussions”, pense Arnaud Bord. “On est à deux ans des élections. Deux ans, c’est long, c’est loin. Ce qui importe, c’est le projet. Qui l’incarnera ? C’est encore tôt pour le dire…”

Le “mouvement citoyen” requis par Paul Planque

De son côté, Paul Planque parle moyennant de début. Lui, au vu des européennes, se “rend compte que la deuxième force la plus importante sur Alès est la gauche, et de loin”. Il veut que le Printemps alésien appendice “un mouvement citoyen”, “une alliance de valeurs” préférablement qu’une arrangement de partis politiques. Pour l’temps, Paul Planque est affirmatif : “Je ne me sens pas mis en difficulté au plan local, en tant que communiste, après ce mauvais score aux élections européennes.”

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