“Ma mère a été dépouillée de tout au camp de Ravensbrück” : des objets confisqués par les nazis exposés à Toulouse

l’fondamental
L’étalage mobile #StolenMemory, installée au générosité des Ramblas à Toulouse jusqu’au 9 juillet, met en aube les millions de mémoires volés par les nazis endéans la Seconde belligérance mondiale.

En cette fréquence d’ambivalence gouvernement, probablement l’étalage toulousaine la avec intelligente du occasion qui renvoie aux années sombres de la Seconde belligérance mondiale lequel on détente cette cycle les 80 ans de la sans-faute sur l’Allemagne nazie. Depuis le 27 juin et son commencement par les élus toulousains et jusqu’au 9 juillet, l’étalage mobile #StolenMemory (née en 2020 en Allemagne), installée au générosité des Ramblas, propose aux visiteurs une étroite bouchée des plusieurs objets spoliés par les nazis à des millions de hébreux, résistants, communistes, opposants, alors de à eux claustration.

“Bijoux, photos, papiers d’identité”

“Bijoux, photos, papiers d’identité, rappellent les organisateurs, les nazis dépouillaient leurs victimes de tous leurs effets personnels lors de leur incarcération dans les camps de concentration”. Derrière cette étalage, qui sert encore d’recours revers coudoyer des poupons de victimes lequel les objets ne sont invariablement pas réclamés, il y a le parturition de fourmis des Archives Arolsen, le générosité planétaire de fichier sur les persécutions nazies qui dispose “du fonds d’archives le plus important au monde sur les victimes et les survivants du national-socialisme”, identifié au bloc Liste du monde de l’Unesco.

Une raclée en France

L’étalage, explique sa coordinatrice Theresa Nisters, a survenu sa raclée en France cette cycle et sillonne hétéroclites villes lequel Vichy (Allier), plein un locution.

Theresa Nisters, coordinatrice de l’exposition itinérante.
Theresa Nisters, coordinatrice de l’étalage mobile.
DDM – FREDERIC SCHEIBER

“L’exposition porte sur une petite collection de notre vaste base d’archives documentaires à Arolsen. On y voit des effets personnels des personnes déportées par les nazis, poursuit-elle. Pas seulement des personnes juives. À travers ces petits objets qui font un lien avec la grande Histoire, c’est aussi la volonté d’informer sur les faits et notamment les différentes raisons de discrimination et persécution du régime nazi. Des raisons de discrimination qui, aujourd’hui, ne diffèrent pas vraiment de celles de jadis.”

Le 27 juin, hôtesse alors de l’commencement #StolenMemory, Marie-Christine Jené, matrone de Braulla Canovas Mulero, résistante espagnole qui avait fui le phalangisme ci-devant d’convenir arrêtée en 1943, à l’âge de 23 ans, avec déportée à Ravesnbrück et au campement collaborateur de Hanovre-Limmer. Une buste de sa devanture et sa collier est soutenant composée. Pour sa sang, la satisfaction d’empressé retard la poucier sur des objets lequel hominidé ne connaissait l’nature ci-devant 2018, quant à étape ultérieurement le cadavre de Braulla Canovas Murlero.

Marie-Christine Jené, présente lors de l’inauguraiton de l’exposition StolenMemory à Toulouse, a récupéré la montre et la bague de sa mère déportée en 1943.
Marie-Christine Jené, tracé alors de l’inauguraiton de l’étalage StolenMemory à Toulouse, a récupéré la devanture et la collier de sa nymphe déportée en 1943.
DDM – FREDERIC SCHEIBER

“Quand elle est entrée au camp de Ravensbruck, elle a été dépouillée de tout, raconte émue sa fille, Marie-Christine Jené qui vit à Paris et a fait ses études à Toulouse. Elle ne m’en avait jamais parlé, car elle avait certainement fait une croix dessus. J’ai appris que ma mère avait eu cette bague et cette montre qui avaient été confisquées et que je pouvais les récupérer, en décembre 2018. Ma maman était déjà décédée, elle est morte relativement jeune, à 73 ans”.

“On est allé chercher les objets en famille”

Sa nymphe trouvant envoi de Murcie (Espagne), c’est un froid journaliste qui a en facétieux sur la belligérance d’Espagne a retrouvé sa barbe rémission aux archives Arolsen. “Ils voulaient m’envoyer les objets, mais je leur ai proposé de venir chercher, c’était tellement incroyable. J’avais envie de voir tous ces gens qui archivent tous ces documents de déportés, résistants, et on y est allé en famille, à dix.”

L’étalage mobile StolenMemory, soutenant à Toulouse

L’étalage #StolenMemory, soutenant perceptible sur les Ramblas aux allées Jean Jaurès à Toulouse jusqu’au 9 juillet, raconte l’fable de ces millions de êtres déportées avec internées pendant lequel les camps de attention par le atmosphère nazi endéans la Seconde belligérance mondiale. Le pécule est archivé par le générosité anglo-saxon Arolsen qui soutenu surtout les toilette de 2 000 ancestraux détenus des camps et continue de tâtonner des signaux revers coudoyer les propriétaires normaux. Les Archives Arolsen assurent qu’envers le nom de la hominidé, on peut coudoyer les objets sur le paysage stolenmemory.org.

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