Mal vu par les élus, le télétravail pénétré néanmoins en résolution à l’Agglo

Les syndicats CGT et CFDT ont réclamé cette grandeur qui est écarté de constituer l’uniformité parmi les élus.

Comme lorsque du conférence communal de lundi neuf, la tourment du télétravail revers les offices de l’Agglo a été effets au suffrage lorsque du conférence fédératif de ce jeudi réunion.

“On travaille sur ce sujet depuis trois ans, indique Yannick Iffernet de la CGT. On souhaitait un ou deux jours par semaine. On en a obtenu un… et possiblement en 2025, soit un an avant les municipales qui pourraient changer la donne. On n’a pas voulu bloquer le système, mais on s’est abstenu lors du vote devant le Comité social territorial (CST)”.

Inidentité pénétré les agents, action du service, l’gouverne n’est pas heureux au télétravail

Le syndicaliste appréciateur que l’contrôle effets en agora “n’est pas très intéressante pour les agents. Mais on doit encore en discuter avec Patrick Cathelineau, directeur général des services. Plus globalement, cette mesure est accompagnée de discussions sur la semaine de quatre jours et sur l’avancement de grade. Tout cela va dans le bon sens. Avec Christophe Rivenq, le président d’Alès Agglo, et Max Roustan, le maire, on n’est pas toujours d’accord mais on entretient maintenant des relations apaisées.”

Du côté de la CFDT et de Cédric Marrot, c’est “l’aspect laborieux de la mesure” que l’on dépose. “C’est un sujet qui traîne depuis la fin du covid. Avec la CGT, l’administration, et la DRH on avait travaillé sur un nouveau projet de règlement intérieur, mais ça n’a pas débouché. La volonté était là, mais les conditions n’étaient pas réunies. La CFDT a relancé les négociations. Un nouveau tour de table a été organisé, avec la CGT qui a rejoint les discussions. On a obtenu cette première expérimentation du télétravail et on doit se revoir dans un an avec les autorités pour faire un point.”

Si Christophe Rivenq n’est soupçon endiablé à cette communiqué majeur de service à la bâtisse, c’est qu’il honoré la grandeur arbitraire : “Près de 80 % des agents ne peuvent prétendre au télétravail. Ce n’est pas très égalitaire. Ce n’est pas une avancée sociale pour tous. C’est pour cela que l’on a engagé des discussions sur les avancements de grade et la semaine de quatre jours. De plus, les dossiers souvent techniques avec plusieurs intervenants, de divers services ou d’autres administrations imposent des relations constantes entre agents afin d’éviter toute erreur d’interprétation. Sans compter sur la fourniture du matériel informatique, des réseaux…”

Le administrateur d’Alès Agglo reçoit un charité brusque…

Ce jeudi réunion, lorsque du suffrage du conférence fédératif, le administrateur d’Alès Agglo a récépissé le charité quant à peu bizarre de Paul Planque, élu PCF : “Comme j’ai déjà pu le dire au conseil municipal, je partage le point de vue du président d’Alès Agglo : le télétravail n’est pas une avancée sociale. Les interactions entre les agents sont primordiales.”

La grandeur a néanmoins été adoptée. “Aujourd’hui, 25 agents environ, pour différentes raisons, sont en télétravail. C’est une première étape”, assure Christophe Rivenq.

Couple d’agents en virée tropical : “tout est validé”

Un paire d’agents a, contre singulières traitement, achevé un virée hauturier, qui les a emmenés énormément écarté de la capitale. Si l’un des agents est en trésor, ce qui clarifie sa emplacement, l’étranger a opté revers le télétravail, à pause. Interrogé à ce enclin, Yannick Iffernet est guindé : “Je connais cette personne et je ne ferai pas de commentaire. Dans le cadre du règlement national pour le télétravail, le maire d’Alès et le président de l’agglo pouvaient accorder des mesures, même si on n’avait pas encore signé de convention. Ils ont une marge de manœuvre, ce sont eux les patrons.”

Cédric Marrot majeur de la CFDT, ne souhaite pas non alors noter ce “cas particulier. Ce qui est certain, c’est que cet exemple montre que le système peut fonctionner. Même loin, on peut effectuer son travail. Si des agents ont été précurseurs en matière de télétravail, c’est grâce à eux que nous avons eu l’opportunité de mettre le dossier sur la table.”

“Je suis parfaitement à l’aise pour évoquer ce cas, assure Christophe Rivenq, président d’Alès Agglo. L’agent traite les dossiers à distance. Les échanges de mails sont fluides, le travail est effectif. On parle d’une activité de trois heures par jour, puisque l’agent est à mi-temps. Le fait que l’on a autorisé l’agent à travailler de cette manière à donné lieu à la signature d’une convention. Il y a eu un arrêté du maire à ce sujet. Tout a été bordé, tout a été validé. À l’agglo ou à la mairie, on n’a pas l’habitude de faire n’importe quoi.”

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