Organisée à la récipient du initial fréquence des élections législatives et subséquemment “une campagne anti-trans sans précédent”, la compromis des fiertés a assemblé étranges milliers de hommes à Paris, verso verso mot d’reçu la rencontre quant à la transphobie.
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“Contre la transphobie : transolidarités !” La compromis des fiertés LGBTQ+ parisienne s’est élancée, chahut 29 juin, en appâte d’quelquefois du nordique de Paris verso unir la empressement de la Cité, verso verso mot d’reçu la rencontre quant à la transphobie.
Une écrasé frais s’est rassemblée dès la mi-journée, au échelon de la disposé de la Villette, un arrondissement apprécié du nordique de la caractéristique, en reprenant dans lequel une aura festive des slogans semblables que “Votons pour nos droits”, “Mets des paillettes dans ta vie”, “La lutte, c’est ma fierté”, et “Contre la transphobie : transolidarités !”.
🔴Déracinement de la #Pride2024 à #Paris de Porte de la Villette à Cité et en deçà le annonce cette période de la rencontre quant à la #transphobie « Contre la transphobie: TRANSOLIDARITÉ ». Les mythiques chars, absents depuis 2019, font à elles recrudescence cette période.#MarcheDesFiertés #PrideMonth pic.twitter.com/nbBvrNDxQt
— Charles Baudry (@CharlesBaudry) June 29, 2024
Ce final mot d’reçu rencontrait d’lointain identifié sur la drapeau en haut de étalage tandis que les organisateurs de cette publication 2024 entendaient libérer une batailleuse transphobe.
“Jusqu’à présent on souffrait d’ignorance, maintenant c’est une haine directe”, a jugé Anaïs Perrin-Prevelle, responsable d’OUTrans en assemblée de lourd, ajoutant qu'”en 2024, on a connu une campagne anti-trans sans précédent”.
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Organisée à la récipient du initial fréquence des élections législatives, la compromis des fiertés est puisque l’données de slogans ou prises de précepte politiques.
“La ‘pride’, c’est la fête, mais avant la fête c’est l’émeute, la colère, dans un contexte social et politique très grave”, a lancé Mimi, coprésidente de l’affinité de charpente aux hommes trans Acceptess-T.
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“On veut revendiquer nos droits qui sont menacés”
Lily et Noah, quelques sœurs de 16 et 20 ans qui sont venues de Normandie verso la compromis, préfèrent vivoter anonymes car à elles dame est terrifiée : “Dans notre petite ville, s’afficher lesbienne c’est difficile. Ici on se sent entourées et en sécurité. C’est notre première marche, on veut revendiquer nos droits qui sont menacés.”
Chars colorés, ballons en majeur de licorne, cœurs ou boules à facettes, récital de percussions ou bus à la londonienne de l’affinité Act-up, le étalage doit unir la empressement de la Cité où un récital est organisé à éloigner de 16h30, verso en têtes d’brandi Eddy de Pretto, Bilal Hassani, Desire, Louïz ou surtout la drag queen Piche.
Un die-in, expression où les participants s’allongent au sol verso incarner les morts du sida, est puisque programmé.
Selon une naissance inspectrice, les autorités s’attendent à un assemblée de participants fidèle parmi 50 000 et 80 000 hommes.
Avec AFP
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