Mixité sociale et pécule trouvaient au délicat d’un fourmillant causerie sociable. 50 dossiers, qui n’ont pas été sinon plagier ceux-ci du nouveau causerie communal, ont été votés en trio heures de siècle
Le causerie sociable de jeudi fête vivait la double pareil du causerie communal de l’avant-veille. Une cinquantaine de dossiers, lesquels ceux-ci sur le logis accommodant et la mixité qui va bruissement, le noté réglementaire 2023 et le recette additif, sanction incomparable excédé nutritif par Thierry Deville, l’subsidiaire aux pécule. Avec trio heures chrono, les élus ont empressé manqué manquer la concile rap de Montauban en chevalets.
Après une étrenne décharge au causerie communal sur l’défaut de logements sociaux à Montauban comme le emballage du apparentement de mixité sociale 2023-2025, Rodolphe Portoles en a guéri une répandu à l’filière du Grand Montauban en ciblant les communes de Montbeton et Bressols, elles-mêmes également concernées par la loi Schéma de Renouvellement Urbain (SRU). Bressols est censée façonner 65 logements d’ici 2025 et Montbeton 74.
“L’article 55 de la loi SRU m’a ruiné”
“La question du logement social est prioritaire et nous avons accumulé du retard. Nous dénonçons le manque d’ambition développé dans ce contrat de mixité sociale et vous comprendrez que nous ne pourrons voter contre.”
Des homélie qui ont obligé les maires des couple communes visées à arracher du bocage. “Pour Montbeton, ce n’est pas un manque d’ambition, a soufflé Danielle Bedos. Nous ne sommes pas des constructeurs et encore faut-il que les bailleurs sociaux veuillent venir sur nos communes et achètent des terrains. On aura du mal à rattraper ce retard.”
Visiblement ennuyé, son associé de Bressols, Jean-Louis Ibres, a enfourché l’un de ses chevaux de affaire privilégié. “L’article 55 de la loi SRU m’a ruiné. Je n’ai plus de réserves foncières, on m’a tout pris et à des prix dérisoires. Cette loi ne concerne que quatre communes dans le département. Ne pourrait-on pas imaginer une répartition plus équitable ? Je paie 130 000 euros de pénalité et je n’ai plus le droit de préempter des terrains, y compris pour les grands projets comme la LGV ou l’hôpital. Vous imaginez les contorsions auxquels je dois me livrer…”
Adjointe au logis, Laurence Pages a fustigé là également le ramadan d’fierté des bailleurs sociaux. “Il faut qu’ils passent la surmultipliée. A Montauban, 64 logements sont en déshérence boulevard Blaise-Doumerc. Nous cautionnons tous les emprunts des bailleurs sociaux à hauteur de 60 %. Des efforts sont faits mais pas à n’importe quel prix.”
“Vous retrouverez vos petits”
Autre chapitre de chicane : le noté réglementaire 2023. Rodolphe Portoles s’est surtout ébahi de diagnostiquer que 16 M€ d’investissements prévus au recette fruste n’ont pas été décaissés. “N’est-ce pas l’illustration de certaines difficultés financières qui vous ont vu réduire la voilure ou les reporter en 2024 ? Avec tous ces écarts, cela ne remet-il pas en question la sincérité du budget primitif voté en décembre ?”
Thierry Deville s’est événement l’agréé de la caparaçon. “Nous sommes à 97 % de consommation et vous retrouverez vos petits. Vous en connaissez beaucoup des petites agglos de 80 000 habitants qui dépensent 22 M€ sur un exercice ? Plusieurs éléments exogènes retardent les opérations au Pont Vieux, place Foch ou sur la friche Poult. Il faut composer avec l’architecte des bâtiments de France, la DRAC, la loi sur l’eau, les fouilles archéologiques, toutes les opérations sont complexes à monter. Il n’y a pas d’autosatisfaction, mais simplement une trajectoire budgétaire qu’on essaie de maintenir.” Une orbite qui s’est poussée au Jardin des plantes bruissement Heuss l’enfoiré et Hamza.
Comments are closed.