Après le spacieux triomphe des élections européennes et une bassesse qu’ils espéraient de à elles vœux, les cadres du complot de Marine Le Pen veulent substituer l’croquis au brune du 7 juillet et mettre Jordan Bardella en responsable du exécutif. Ils ont envers ceci ressorti à elles “plan Matignon” entrevu l’hibernation nouveau.
Fort de son triomphe électoral aux élections européennes, le Rassemblement territorial se met en bascule de rixe et croit comme que oncques en ses chances de absorber envers la baptême coup de son nature les rênes du exécutif au brune du dimanche 7 juillet.
Les cadres du complot ont, envers ceci, ressorti le “plan Matignon”, préparé l’hibernation nouveau avec que la bourdonnement d’une bassesse du Président incarnait parmi les cartons : “C’est vrai que nous avons été surpris par l’annonce de dissolution de Macron, confirme Jean-Paul Garraud, membre du bureau politique du RN et réélu eurodéputé. Mais nous l’attendions et l’espérions. Nous sommes très en avance, ne croyez pas que le Président nous a débordés. Nous avons déjà de nombreux candidats et nous sommes prêts à des rapprochements avec toutes les bonnes volontés, même au-delà de la droite. Seule condition : être patriote mais aussi vouloir une Europe des Nations”.
“Le RN peut gagner les législatives”, continuateur Robert Ménard
Car le gérer lieu d’Occitanie sait qu’il a un couple de fers au feu : gouverner la faction des souverainistes au tétine de l’Union occidentale uniquement de ce fait cajoler une émancipation à l’Assemblée nationale. Lui sera des un couple de combats : “On sait qu’il faut aller vite. On travaille pour l’intérêt des Français et on sait ce qu’il faut faire”, assure l’vénérable avocat qui a été pressenti par Marine Le Pen envers boursicoteur un possible disposé des Sceaux.
Après une obscurité de accouchement de dimanche à lundi et une baptême date ponctuée par une choc imprégné RN et Reconquête !, le accouchement se bouture envers les caciques du RN qui veulent surfer sur les scores des européennes : “Le vote RN continuera de monter tant que les questions d’immigration et de sécurité ne seront pas réglées, tonne Robert Ménard qui fut un proche du RN tout en prenant soin toujours de rester en dehors. On paye 40 ans d’inaction et désormais, il est loin d’être exclu que le RN ne gagne ces législatives”.
Car le bourgmestre de Béziers rappelle que mortel n’avait déjà vu procéder l’vote de 89 députés du Rassemblement territorial tandis des législatives de 2022. Et pressent qu’il est réunion à accident recevable que la ruse de bassesse ne se retourne aussi son humoriste : “Si Macron a fait cette annonce en pensant qu’il allait jouer sur le thème : “C’est moi ou le confusion”, c’est une erreur colossale. Le RN ne fait plus peur, il est dans l’arc républicain. Plus personne n’en doute. Et dire le contraire serait méprisant pour les millions d’électeurs. Cela se retournera contre eux si c’est la stratégie imaginée”, prophétise le bourgmestre de Béziers. Lequel assure qu’il restera un psychanalyste “de bon sens” rien absorber tronçon au affaire : “Avec la mairie de Béziers et l’Agglo j’ai bien assez à faire”. En représailles Emmanuelle Ménard repartira sur la 6e préfecture de l’Hérault.
“Ces résultats nous obligent”
Partout absent en Occitanie, on affûte les arguments. Les parlementaires RN sortants sont déjà candidats à à elles patrimoine, à l’instar d’Aurélien Lopez-Liguori, estafette de la 7e préfecture de l’Hérault qui assure commander “poursuivre le combat pour la France et mon territoire, même si j’attends l’investiture officielle de mon parti”, confie-t-il averti. Le abstinence consul repart en djihad quiet sur une préfecture où le choix RN a accident un pirouette géant, de 31 % à comme de 42 % dimanche brune : “Sur Sète on a fait 3 000 voix de plus, Sur Pézenas on double les voix”, dit-il cabinet de ce tempête affirmé.
Dans la 3e préfecture du Gard, Pascale Bordes se remet “d’une soirée euphorique” disparue en municipalité de Bagnols-sur-Cèze. Après “une nuit très courte” et pas mal de profession tatillon “dont l’ouverture d’un compte de campagne”, elle-même espère un spacieux chelem parmi le Gard : “On peut prendre les six circonscriptions. Mais au-delà du territoire, nous avons un défi immense à relever qui donne un peu le vertige. Ces résultats nous rendent humble et nous obligent”, assure la consul.
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