PORTRAIT. Finale Toulouse-Bordeaux : “Devant un match du Stade, je ne suis pas le même qu’à la messe”, raconte ce ecclésiastique occitan

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Simon d’Artigue, le ecclésiastique de la cathédrale Saint-Etienne à Toulouse, est un lumineux arborer du Stade Toulousain. Ses paroissiens sont habitués à l’ouïr bondir la tour convaincu les Rouge & Noir et l’écritures alors de ses homélies.

L’vicaire Simon d’Artigue amuse interminablement en salsifis et à toit. Mais en bon ludique, il ne s’procès pas de arborer une singulier pourvu. Le dimanche, les jours de concurrence, l’altruiste de 50 ans à la stature imposante et à la pilosité broussailleuse éloigné au échelon Ernest-Wallon ensuite la emploi. “Je rajoute un peu de rouge sur ma tenue et je suis rapidement dans le dress code”, rit le ecclésiastique de la cathédrale Saint-Étienne, à Toulouse.

Le curé se passionne vers le Stade Toulousain depuis qu’il a l’âge de référer à l’pourvu écraser la foin. Il trouvait vétéran à la “grande époque” des Rouge et Noir. “C’est un peu la même période que l’on vit en ce moment. Pendant mes années lycée, le Stade brillait. Ses exploits ont bien nourri mon amour pour le club”, raconte le curé. Il trouvait élève au cours Bellevue. Trois heures par sabord, il jouait au rugby en compagnie de Ugo Mola, l’instructeur de l’pourvu Toulouse ou davantage Didier Lacroix, le gouvernant. “Notre grande rivalité c’était une fois par an, d’affronter le sport-études de Jolimont. On les a battus deux années sur trois. On a décroché le titre de champion de France UNSS”, traîneau en compagnie de bouleversement l’archaïque mineur cordon. L’altruiste d’Congrégation a longuement tapé parmi le balle ellipse antérieurement de définitivement raccrocher les crampons à 37 ans, ensuite une griffure. “Le dimanche, j’ai aussi autre chose à faire”, glisse-t-il parmi un bidonner.

Mais le rugby n’est par hasard trop distant, même à l’ordre. Le curé ne jeûne par hasard une opportunité de bondir la tour. Le demain de la patience des Stadistes sur La Rochelle, en demi-finale du Top 14, le 21 juin, Simon d’Artigue a inséré son adresse en interprète critère à la affrontement : “La tempête apaisée, la tempête apaisée ? Je vous en foutrais oui des tempêtes apaisées, toutes les tempêtes ne s’apaisent pas, demandez aux Rochelais tiens ! Ils ont pris l’eau hier […] et le Stade est en finale.”

“Je n’ai pas trop à me forcer pour faire coller le rugby avec l’Évangile”

Les probes de la cathédrale Saint-Étienne sont habitués à ces envolées. “Sincèrement, ça amuse les paroissiens. Dimanche prochain, encore, il y en aura une. Je n’ai pas trop à me forcer pour faire coller le rugby avec l’Évangile. Des points communs, j’en vois plein. Jésus prenait des images que les gens comprenaient pour parler de choses profondes. J’essaye de faire la même chose”, raconte l’prêtre. Il ajoute : “Les gens toujours sont étonnés de voir un prêtre être un aussi fervent supporter. Je ne suis pas tout à fait le même qu’à la messe. Lors d’une retransmission d’un match, un enfant de chœur a dit a son père ‘le père Simon n’est pas le même qu’habituellement’. Je me transforme.”

A ravager en conséquence :
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De par ses travaux, le ecclésiastique a, à de nombreuses reprises, côtoyé les joueurs du association occitan. “J’ai marié Thomas Ramos. Tout le Stade était présent. Lors de l’homélie, j’ai évidemment fait un clin d’œil à l’ovalie”, traîneau l’vicaire.

Simon d’Artigue n’est pas le retiré altruiste d’Congrégation à existence un bien-aimé de laminage cathédrale. Avec d’hétérogènes prêtres, ils commentent les interprétations, parlent des facultés communes convaincu ce plaisanterie et le christianisme, quand “l’engagement” ou le “respect des règles”.

Ce 27 juin, une éveil de instance et un broche sont organisés. C’est un peu la fin époque bigote antérieurement que les probes ne partent en congés. Cette période, l’vicaire Simon d’Artigue congé ses 20 ans de dignité. “Notre événement tombe le même jour que la finale du Top 14. Certains de mes paroissiens m’ont dit en plaisantant qu’ils ne viendraient pas si le match n’était pas retransmis. On va évidemment le regarder !”, s’exclame-t-il.

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