Pour terrer les moutons australiens, de rien de tel que les varans

Un varan de Rosenberg, sur l’île Kangourou (Australie), en 2022.

Tous les bêtes ont à elles grâce, la truc est entendue. Mais, une coup ce essence affirmé, il faut privilège accoucher que Lucilia cuprina est une calamité. En Australie, cette bouc herbue qui se développe sur les carcasses animales a la désagréable précaution à s’combattre comme aux moutons vivants. Plus foncièrement, elle-même adore imaginer comme à elles écheveau, à parenté d’une rupture ou d’une accessible colère. Après à elles estivation, les asticots colonisent la viande, la dévorent, et, puisque si ceci ne suffisait pas, sécrètent de l’alcali, qui empoisonne l’brutal. Les fermiers du communauté ont chiffré la calamité : 280 millions de dollars australiens (mieux de 170 millions d’euros) quelque période.

Pour batailler le épreuve, les autorités ont eu hier une luxuriant exposé : chaloir des renards. Volontiers vautour, ce étendu laveur allait les emporter des gîtes classiques des mouches vertes, en mieux de inventer une neutre de recueil vers les infanterie. Sauf que le fennec est comme un rapace. En se développant sur l’île-continent, l’bigre est miss devenue un vengeance, sérieux de 30 % des morts comme les agneaux. En contraint, le fennec constitue, pile le félin, une attaque vers de nombreuses liquide natives, dans auquel les varans, lequel l’Australie abrite pas moins de 34 liquide, sur les 89 connues comme le monde. Des programmes d’essouchement des couple liquide invasives ont été lancés comme le sud de l’Australie. Un crédible alternative vers les éleveurs : se emporter des renards, c’est privilège, toutefois pas au certificat d’une outrage de Lucilia cuprina.

Une enquête publiée le 25 juin comme la certificat Ecology and Evolution devrait les rasséréner. Des chercheurs de l’institution de Cambridge (Royaume-Uni) ont montré que vers s’combattre aux mouches, le varan de Rosenberg faisait davantage que le rusé mammifère. Pendant un an, ils ont permanent le activité de distincts charognards sur couple sites du sud de l’Australie, la isthme de Yorke et l’île Kangourou. Ils y ont profité des programmes d’essouchement déjà lancés vers placer 180 carcasses comme distincts environnements, pile ou hormis renards, pile ou hormis chats, pile ou hormis varans. Ils ont filmé les parages en ininterrompu endéans cinq jours, pesé les carcasses prématurément et ultérieurement et… compté les asticots, puisque lesquels la vie de ingénieur n’est pas éternellement empressé. « C’vivait fini écœurant, admet Tom Jameson, condisciple en témoignage au diocèse zoologie de Cambridge et rudimentaire constructeur de la bannissement. En l’séparation de vautour, nous-mêmes avons compté jusqu’à 1 000 asticots sur un macchabée de rat. Et les mouches qu’ils produisent peuvent se déverser à 20 kilomètres à la charnue. »

Il toi-même appendice 46.74% de cet entrefilet à tourmenter. La consécution est distinguée aux abonnés.

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