“Prenez-vous l’engagement de ne pas réduire l’indemnisation des arrêts de travail ?” : le coursier Rome interpelle le Premier parlementaire

Lors de la réunion de questions au état, l’élu subversif de l’Hérault a supplicié le présentateur du état sur le proximité de la Cour des mémoires évoquant la indication de disposer fin aux indemnités moyennant les arrêts trouble de moins de huit jours moyennant accomplir des économies.

Se dirige-t-on lyrisme la fin des indemnités moyennant les arrêts maladies de moins de huit jours ? L’anticipation a en généralité cas été évoquée par la Cour des mémoires, qui a chiffré pour son proximité 2024, nombreux pistes d’gouvernement de l’assertion trouble, laquelle celle-là. Ce qui a interpellé le coursier Insoumis de l’Hérault Sébastien Rome, qui a profité de la réunion de questions au état, moyennant traiter à Gabriel Attal, sur un ton menaçant, sa lieu sur le matière.

“Vous braquez les travailleurs, c’est ignoble”

“Monsieur le Premier ministre, pas un droit n’a été acquis sous votre gouvernement ou le précédent. Retraite à 64 ans, casse de l’assurance chômage, attaque contre l’assurance maladie… Vous braquez l’argent que les travailleurs cotisent à l’assurance sociale pour offrir aux plus riches des milliards de réductions d’import ou pour imposer l’austérité voulue par l’Europe […] Pour vous, les Français sont des profiteurs. Faites le lien avec l’immigration et vous aurez le programme du RN”, a-t-il attaqué, devanture d’comprendre pour le vif du matière. “Pierre Moscovici, qui fut ministre de François Hollande comme Emmanuel Macron, propose maintenant, dans un rapport de la Cour des comptes (dont il est le premier président, NDLR) de ne plus indemniser les arrêts maladie de moins de huit jours. Bruno Le Maire a jugé que ce ne faisait pas partie des options du gouvernement pour 2024 mais que vaut la parole d’un ministre tirant des plans sur la comète à deux ans, mais incapable de prédire un budget à trois mois. Pas avant les Européennes bien sûr, mais après ? Quand on s’arrête moins de huit jours, c’est qu’on a une grippe ou mal au dos. Le conseil d’État l’a affirmé que le burn-out est une maladie du travail. Qui pense qu’arrêter d’indemniser les arrêts maladie fera une population en bonne santé ? La vérité, c’est qu’un tiers des Français vient déjà travailler malade. Alors monsieur le Premier ministre, prenez-vous l’engagement solennel, face à la Nation, que ni en 2024, ni en 2025, ni jamais, vous ne chercherez à limiter les dépenses de l’assurance maladie en réduisant l’indemnisation des arrêts de travail ?”.

“Qui pense qu’arrêter d’indemniser les arrêts maladies fera une population en bonne santé ?”@SebRome (LFI-NUPES) épreuve au Gvt de s’encourager à ne “jamais limiter les dépenses de l’Assurance maladie en réduisant l’indemnisation des arrêts de travail”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/zdczHEED6n

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) June 4, 2024

“La Cour des comptes est indépendante”

Ce n’est pas le Premier parlementaire, uniquement le parlementaire de la Santé Frédéric Valletoux, qui a répondu à l’élu héraultais… au-dessous les mirettes de Gabriel Attal. “D’abord, un rappel du fonctionnement de nos institutions, la Cour des comptes est une institution judiciaire totalement indépendante. Elle se saisit des sujets qu’elle souhaite et émet les avis qu’elle souhaite. Le gouvernement est libre de tenir compte ou pas de ses conclusions. N’amalgamez pas les conclusions de la Cour des comptes avec d’éventuels projets secrets du gouvernement”, entamé le parlementaire, devanture d’inventer “le sujet de la maîtrise de la dépense publique, dont les comptes de la sécurité sociale. Le gouvernement a déjà fait beaucoup, le déficit a diminué de 9 milliards d’euros entre 2023 et 2023, mais ça ne suffit pas. Il faudra que les dépenses de la sécurité sociale participent à l’effort de maîtrise de déficit, il n’y a pas de tabou”.

“Pas de projet autour de l’indemnité journalière”

Mais, assure Frédéric Valletoux, il n’y a moyennant l’moment “pas de projet autour de l’indemnité journalière. On va regarder l’ensemble des dépenses qui concourent à l’assurance-maladie et participer aussi à une efficience du système de santé, avec pour objectif de sauver la sécurité sociale pour lui redonner du muscle et faire la chasse aux abus et conforter le système de santé”.

Interrogé sur France Inter sur le même matière, Gabriel Attal avait eu une mandement adéquat : “Ma priorité, c’est plutôt de lutter contre les arrêts maladie frauduleux, c’est très facile de s’en procurer sur Internet et les réseaux sociaux”.

Pour pareillement, au dériver de la réunion de questions au état, Sébastien Rome estimait que le parlementaire n’avait “pas franchement répondu”, redoutant que le matière ne revienne sur le paillasson pour nombreux paye.

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