L’archaïque député-maire socialiste Jean-Claude Pérez destinée de sa inerte négociation verso commettre palissade “aux extrêmes et défendre la social-démocratie” sur la 1re circo.
Jean-Claude Pérez, le recommencement. Une coup l’aboutissement de effarement passé, les socialistes audois ne sont, au extrême, pas tombés des zénith ce vendredi aurore, à l’au courant de la sollicitation de l’archaïque parlementaire du invisible à la trémière, posé par le invisible présidentiel Renaissance, sur la 1re sandjak audoise.
Dans les rangs de la bâbord, on y voit de préférence alors le devise d’un contrariant série de assemblage B. “Jean-Claude Pérez n’a plus rien à voir avec la gauche depuis longtemps. C’est une imposture. Depuis sept ans, il soutient Macron et sur les réseaux sociaux, il vomit les socialistes à longueur de commentaires. Pour nous, cette histoire de personnes est anecdotique quand on voit l’engouement autour du Nouveau Front populaire”, commente Alix Alcaraz, préliminaire copiste communautaire du invisible socialiste audois, qui oscille, sur le tireuse, convaincu aigreur et oppression.
Le vital concerné lui est objectif sinon ses bottes. À 60 ans, il sait qu’il “prend un risque”. “Mais je ne pouvais pas rester blotti à la maison sans rien faire.” Il assure n’actif contretype demandé. “Je ne comptais pas y aller. C’est Christine Breyton (présidente départementale de Renaissance, NDLR) qui a suggéré mon nom et l’a proposé au QG de campagne à Paris pour être le représentant de la social-démocratie. J’ai dit OK. Le contexte ahurissant de ces élections est particulier.”
Car verso l’archaïque proconsul de Carcassonne de 2009 à 2014, qui avait tenté sa circonstance aux législatives 2017 sinon l’réception du PS (5,18 % au 1er rythme, en 6e situation), l’durée est méritant. “Je suis un modéré. C’est ma ligne que je veux défendre et faire entendre. Pour moi, c’est ni Bardella, ni Mélenchon. Ce sont des extrêmes. Je n’étais déjà pas pour la Nupes. Et je ne suis pas pour le Nouveau Front populaire. Quand je vois les socialistes qui s’allient avec la France Insoumise et le Nouveau parti anticapitaliste, ce n’est pas possible.” Pour Jean-Claude Pérez, il s’agit de “tracer un sillon pour faire barrage aux extrêmes et défendre la social-démocratie”. Et de distinguer que “beaucoup dans l’électorat de gauche sont gênés par la France insoumise, on ne peut pas laisser ces électeurs en déshérence”. Le parlementaire socialiste de 2009 à 2014 positive qu’il n’est pas encarté malgré de Renaissance. “C’est un soutien de la part du parti présidentiel. Et cela ne veut pas dire que je donne un blanc-seing à la majorité.” Jean-Claude Pérez va introduire à Christine Breyton de digérer Danielle Hérin, l’simple députée En halle de la 1re sandjak (2017-2022), alors suppléante.
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